∞ PASSEPORT DU SORCIER

◗ nom : Fortescue ? Et bien, vous connaissez son père, Florian le vendeur de glace. Sa famille est connue dans le monde des sorciers et vous avez déjà forcément dégusté l’une de ses fameuses glaces. Alice est donc l’unique enfant de Florian Fortescue et ne reprendra sans doute pas le business familiale, car elle n’est pas très douée pour cela, hélas. Cette famille n’est pas « fameuse » dans le sens honorable, juste brièvement connue, du genre « hey, mais t’es la fille du marchant de glace ! ».◗ prénom(s) : Alice, Eana. Deux prénoms. La petite histoire était qu’à la base, ses parents voulaient l’appeler Eana, et puis, après avoir accouché, sa mère s’est mise à l’appeler Alice, trouvant que le prénom lui convenait mieux, et soit disant aussi parce qu’elle souriait plus à l’évocation de ce prénom. Du coup, Alice a été retenue en premier et Eana relégué au second rang. ◗ surnom(s) : Des surnoms ? Elle en a des tas, mais généralement les gens qui la connaissent bien l’appelle Allie, elle répond aussi bien à ce surnom qu’à son propre nom d’ailleurs. Mais, il y a des surnoms moins gracieux du style « Lilice », « Tescue », elle déteste ces mêmes surnoms. Quand elle était à Poudlard, un de ses amis a trouvé qu’elle avait un parfum qui sentait la pomme – en hommage aux glaces que vend son père également - , et depuis la surnom « Glace à la pomme » - quand il souhaite vraiment l’énervé, ou parfois même simplement « Pomme », elle déteste, elle déteste, mais c’est idéal pour la faire enrager. ◗ âge du personnage : Elle est âgée de vingt cinq ans, et donc faisons un petit calcul, elle est née… en dix neuf cent cinquante cinq, et précisément un vingt neuf décembre. Ce jour là, il faisait froid, et il neigeait des têtes de chats comme on dit et Mrs Fortescue se plaignait depuis l’aube d’avoir mal au ventre quand finalement elle avait perdu les eaux vers dix heures du matin pour finalement accoucher à Ste Mangouste vers midi en maudissant tout le monde. ◗ nature du sang : Mrs Fortescue était une sorcière de sang mêlé, et… Mr Fortescue est également un sorcier de sang mêlé, ainsi si nos calculs sont corrects cela fait d’Alice une sorcière de sang mêlé, et elle le vit plus que bien d’ailleurs. ◗ affiliation : Elle est de façon évidente membre de l’Ordre du Phénix même si depuis quelques temps elle s’y est un peu moins impliqué à cause d’évènement passé comme une agression dont elle avait été victime, mais cela n’a en rien entaché son engagement, cela a juste fait en sorte que les autres la protège toujours plus et l’empêche parfois de partir en mission ! ◗ travail/occupation : Elle est Serveuse au chaudron baveur ce n’est pas ce dont elle est le plus fière dans sa vie, croyez moi. Mais écouter les bruits de comptoirs c’est assez important pour l’Ordre par exemple, écouter un mangemort un peu trop ivre, ou remonter les bretelles à un membre de l’Ordre trop bavard, cela peut toujours servir, mais dans l’absolu, Alice aimerait reprendre les études d’auror qu’elle a laissé tombé à la sortie de Poudlard. ◗ épouvantard : Elle a peur de beaucoup de chose, mais un cauchemar en particulier la hante elle a peur de subir le sortilège de doloris une fois encore et ce avec le rire de Bellatrix Lestrange en fond, et celle-ci qui la pousserait jusqu’à la folie, jusqu’à ce qu’elle réclame de mourir plutôt que de subir ça. ◗ patronus : Son patronus est un renard, cela n’a pas de signification particulière mais elle aime beaucoup ces bêtes là, quand elle était plus jeune et que sa mère était encore en vie, elle vivait dans la banlieue et en voyait souvent depuis sa fête, elle se souvient que sa mère les aimait beaucoup. ◗pêle mêle d'informations complémentaire: La jeune femme est métamorphomage elle ne supporte pas changer sa couleur de cheveux, elle n’aime pas les extravagances, mais elle se sert de son don pour changer suivant son gré la longueur de ses cheveux car entre cheveux longs et cheveux courts elle ne sait pas ce qu’elle préfère, et Frank ne parvint pas à se décidé car d’après lui « elle est belle, quelque soit la longueur de ses cheveux ».

∞ INTERVIEW POUR LA GAZETTE

Bonjour, je suis journaliste pour la gazette du sorcier, et je vais vous poser une série de question. Vous allez devoir être honnête car il va falloir y répondre comme si vous étiez sous l’emprise de veritaserum, alors s’il vous plait, jouez le jeu et c’est parti pour cette interview !

◗ Vous ne vivez pas dans un trou perdu à ce que je sache alors laissez moi vous poser cette question qui me brûle les lèvres : que pensez vous de cette guerre ? Car oui, vous ne l’ignorez sans doute pas, nous sommes en guerre, on dit que les différents camps diffèrent sur leur position quant à la nature du sang. Donnez-nous donc votre avis sur cette guerre, et sur la façon dont elle vous touche (ou pas d’ailleurs) ? Pour moi, cette guerre est nécessaire dans le sens où elle seule pourra nous permettre de venir à bout de cette tyrannie et de ces idéologies. Bien sûr, il faudra des générations pour se remettre d’un tel conflit, et des générations encore pour… assainir les mœurs, mais je pense que cette guerre est un processus nécessaire pour la liberté. Car oui, c’est bien de liberté qu’il s’agit, la liberté des individus pourvu de pouvoir magique qui peuvent les utiliser comme bon leur semble. Je devrais être la première à dire que cette guerre est une horreur car moi-même j’ai failli y perdre la vie l’an dernier, j’ai été agressée et j’ai bien cru que je ne m’en remettrais pas, mais aujourd’hui ma détermination n’en est que plus grande. La guerre c’est la plaie de toutes les grandes civilisations, elle permet de sceller le destin de tout un peuple, dans bon sens, comme dans le mauvais. Je vois cette guerre comme une épreuve pour le monde des sorciers, diviser, nous ne pouvons survivre, et cette guerre laissera un vainqueur qui décidera du sort et de l’avenir de notre peuple que sont les sorciers. Mais j’ai foi en l’avenir.

◗ Intéressant, intéressante, je note. Votre camp, comment l’avez-vous choisi ? Par conviction, par pression, ou bien c’est parce que vous n’en avez strictement rien à faire des autres ? Je suis membre de l’Ordre du Phénix, car… ce sont mes idéaux, et je respecte beaucoup Dumbledore c’est un très grand homme. J’aspire à la liberté et à l’égalité des sorciers. Lorsque j’étais élève à Poudlard j’ai subi assez de brimades soit disant parce que mon sang n’était pas pur, mais, je vaux autant que certains sorciers de sang pur, certains sont vils, cruels, et n’ont pas de cœur. Ils n’aspirent qu’à vivre qu’en eux, à se reproduire qu’entre eux. J’ai donc choisi ce camp par pur conviction, à la base je n’étais pas une guerrière mais je crois bien que les différents épreuves ont fait de moi une battante, et une véritable gryffindor. Mais on peut dire que maintenant je subi des pressions de la part de mon entourage qui voudrait me voir arrêter de me battre car je serais soit disant trop… faible ? Oui, j’ai été blessée une fois, j’ai cru mourir, et je suis là, debout, et devant vous, et je dois leur faire comprendre que je tiendrais, que je serais là, à leur côté, et que je ne les laisserais pas seul et que l’avenir incertain, nous l’affronterons ensemble, mais j’ai espoir, car vous savez, le bien fini toujours par l’emporter sur le mal, nous y arriverons, j’ai la foi.

◗ Ainsi, j’y vois maintenant plus claire, et je commence enfin à vous cernez. Cela a beau être la guerre, et quelque soit le camp dans lequel on se trouve on rêve tous d’un monde meilleur. Si vous devriez vivre d’espoir, comment aimeriez vous que soit votre vie dans dix ans ? J’ai foi en l’avenir, alors j’espère bien faire encore parti de ce monde dans dix ans. J’espère que d’ici là, cette guerre sera terminée et que la liberté de tous sera vainqueur et non plus l’orgueil de certain. Dans dix ans, j’espère que je me serais enfin mariée avec Frank, depuis le temps que j’attends ce jour et j’espère surtout que… je serais maman. J’espère que cet enfant, ou ces enfants seront né dans un monde de paix, et que nous seront heureux. Bien sûr la vie n’est jamais un long fleuve tranquille, mais j’ai l’espoir d’être encore Frank, amoureuse, mère, d’avoir mes amis auprès de moi, Emmeline, et ma famille aussi, Alastor et mon père, j’espère de tout cœur.

∞ PASSÉ TROUBLE, AVENIR INCERTAIN

En ce qui concerne le passé de votre personnage. Merci de faire un poste de minium 30 lignes pour présenter votre personnage. Il faut donc parlez de plusieurs choses, sa famille, son histoire, son attitude, son physique etc. Vous pouvez le faire sous forme de journal intime, de témoignages d'une tiers personnages, de petite anecdote, de façon classique, ou bien un simple rp. Merci de nous parler également du caractère, vous pouvez faire des paragraphe séparés si vous le souhaitez.

∞ MOLDU Y ES-TU ?

◗ pseudo / prénom : ashed waylands / Lexie ◗ âge : 21 ans ◗ avatar : ginnifer goodwin note/commentaire HELL YEAH WW !

Quand ils se sont rencontrés, Florian Fortescue et Océane Duchannes étaient encore jeune, ils n’avaient pas fini leur scolarité. En vacances en Angleterre, la jeune sorcière française s’était arrêter pour manger une glacer sur le chemin de Travers, en cet été là, la chaleur était plutôt écrasante. Florian se souvient encore l’avoir vu lutter pour prononcer quelques mots d’anglais. « Un glaçon à la pômme. » avait-elle essayé de dire, Florian avait sourit, et lui avait alors appris qu’on disait « Une glace à la pomme. » c’était le début de leur histoire, un simple problème de traduction. Ils ont commencé à correspondre, Florian a apprit le français, et Océane a appris l’anglais. De fil en aiguilles, ils ont fini par tomber amoureux après un intense échange épistolaire. Océane était une sorcière aux cheveux noir, et aux yeux verts profond, elle était française et était très grande. Celle-ci possédait un don de métamorphomage qu’elle avait hérité de sa grand-mère, qui l’avait elle-même hérité de sa mère. Quant à Florian il était issu de la maison de poufsouffle, ce n’était ni un sorcier courageux, ni même très doué, il était simplement très loyal aux siens. Quand il était entré à poudlard il savait déjà que plus tard il reprendrait le commerce de son père, et vendrait des glaces aux parfums magiques aux clients sur le chemin de traverse. Océane travaillait pour Gringotts et a été mutée à Londres à son plus grand bonheur, si bien qu’ils se marièrent rapidement, et naquit une petite fille aux cheveux noirs dont dés les premiers jours la longueur et la couleur changeait au gré de ses humeurs. « Mon Alice », répétait affectueusement son père et sa mère, elle était la prunelle de leurs yeux.

La prunelle de leur yeux a grandit, une jeune enfant d’une nature très capricieuse, très caractérielle aussi. Elle refusait de ne pas être au centre des préoccupations de ses parents, elle avait sans cesse ce besoin d’être au centre de tout, comme si elle avait peur qu’on l’oublie et qu’on l’abandonne. Mais… Océane tomba gravement malade et décéda quelques mois plus tard alors que la petite fille n’était âgée que de six ans. Cela changea alors radicalement Alice, qui devint alors, douce, et cessa tous ses caprices pour s’efforcer de soutenir au mieux son père, car il tombait peu à peu dans la dépression, il avait perdu la femme de sa vie. Il lui fallu quelques mois pour réaliser qu’il lui restait encore sa fille, et que celle-ci l’aimait. Alice a enterré en même temps que sa mère cette gamine capricieuse et caractérielle pour embrasser le caractère qu’elle possède actuellement. Altruiste, douce, aimante, et maternelle.

Cher Journal,
Cela fait cinq ans que Maman nous a quitté. Il ne se passe pas un seul jour sans que je pense à elle, si tu savais comment elle me manque, et combien je donnerais pour la voir encore à nos côtés. Papa s’est remis malgré tout et a même commencé une relation avec une femme, mais cela n’a rien donné. Certaines filles seraient jalouses de voir leur père refaire leur vie mais moi je l’y encourage car je réalise que l’amour est ce qui nous maintient en vie. Cinq ans qu’elle n’est plus là, jour pour jour, et c’est le destin qui fait que c’est aujourd’hui que je reçois ma lettre pour Poudlard. Triste destin, j’aurais aimé qu’elle soit là, pour me soutenir, même si elle n’avait jamais vu le château de sa vie, elle m’aurait soutenue, moi qui suis effrayée à l’idée de… de ne pas être à la hauteur. Mais heureusement, Alastor est venu me réconforter en me disant que tout se passerait bien, j’ai de la chance d’avoir une famille, une vraie qui me soutient et m’aime. Allons-y journal, allons affronter le jugement du choixpeau magique, je crois que je suis prête ! Rendez-vous à Poudlard !

Nous étions le premier septembre l’année des onze ans de la jeune Alice, celle-ci se tenait debout dans la grande salle à côté d’une fille rousse avec qui elle avait discuté dans le train. Enfin, dans le train Alice n’arrivait pas à mettre la main sur Crapule – le chat que lui avait offert son père pour son départ à Poudlard – et elle l’avait cherché un moment avant de le retrouver sur les genoux d’une fille rousse entrain de se faire papouiller comme un prince, cette fille c’était Emmeline Vance. Voyant que Crapule refusait de quitter la sorcière, Alice avait finit par s’installer dans son compartiment et elles avaient commencé à discuter. Dans la grande salle, Alice était pétrifié quand on prononça son nom : « Alice Fortescue. » Elle avala sa salive et adressa un maigre sourire à Emmeline avant de se rendre d’un pas timide vers le tabouret que lui indiquait le professeur. « Hum, intéressant,commença à dire le choixpeau, mais pour moi cela semble évident : GRYFFINDOR ! » Alice était soulagée, un poids lui avait été retiré du cœur et c’est fièrement qu’elle s’élança tout sourire vers la table qui était celle de son cousin Alastor. Elle s’installa quand retenti quelques minutes plus tard le nom : « Emmeline Vance » Elle semblait fort sympathique, Alice était loin de s’imaginer qu’elle venait de rencontrer sa meilleure amie pour au moins les quinze prochaines années. Quand le choixpeau effleura sa tête, Alice pensa secrètement qu’elle aimerait beaucoup qu’elle soit dans sa maison, et ses prières furent exaucés : « GRYFFINDOR ! » Comme tous les membres de la maison, Alice applaudi alors, et fit une place à côté d’elle pour que la rousse puisse s’asseoir, toute guillerette. La suite, elles avaient discutés pendant tout le repas, et aussi toute la nuit qui avaient suivi et dés le premier cours le lendemain le professeur d’histoire magie avait jugé bon de les séparer pour qu’elles ne discutent pas, mais en attendant, Alice avait trouvé une meilleure amie, une vraie.

Des années plus tard, Emmeline et Alice étaient toujours unies comme les doigts de la main. C’était alors un printemps lors de la sixième année des deux filles. A l’époque, Alice ne se servait pas de son don de métamorphomage, non enfin sauf pour les fêtes, et quand elle ne le contrôlait pas quand elle s’énervait par exemple. Elle avait de longs cheveux noirs de jais, et les deux filles contrastaient l’une à côté de l’autre, mais il était bien rare de les voir l’une sans l’autre. Elles se promenaient en dégustant une glace acheté chez un glacier ambulant quand Alice dit alors en grimaçant : « Ils appellent ça une glace… c’est une horreur ! » Elle paraissait offusquée après tout, elle était elle-même la fille d’un glacier, et en glace… elle en connaissait un rayon pour connaitre le processus de fabrication de a à z, mais aussi pour avoir gouté les meilleures glaces, celles-ci lui paraissaient naturellement fade. Emmeline pouffa et dit alors : « Arrête de faire ta « jesuislafilleduglacieralorsjesaistout », Alice ! » Elle parlait à toute allure et elle se moquait un peu d’elle. Emmeline n’était pas bien méchante, elle taquinait juste son amie. Emmeline fit stopper son ami en voyant Benjy Fenwick sortir des Trois Balais avec une fille et ses copains, elle dit alors en le fixant – ou peut être en fixant ses fesses (Alice pense qu’il s’agissait de ses fesses) : « Benjy Fenwick, un jour il sera à moi. » dit-elle en le dévorant des yeux. Alice savait que son amie en pinçait pour ce garçon depuis… un moment et ne semblait décidément pas prête à lâcher l’affaire. Ce type était séduisant, c’était un fait, mais pas le style d’Alice. Elle fit alors un petit remarque sarcastique : « Mais oui, il sera à toi le jour où les Canons de Chudley remporterons la coupe, c'est-à-dire… jamais. » Elle lui adressa un sourire ironique, et mordit alors dans la glace, elle n’était pas si mauvaise que cela. Elle fixait alors au loin regardant ce Fenwick, et ses amis. Elle ne pouvait que le nier, mais elle avait toujours eut une sorte de faible pour un des amis du jeune homme, un certain Frank, mais jamais n’avait-elle croisé son regard, quand celui-ci tourna la tête vers elle, elle dit alors à Emmeline en la regardant : « Et si on allait boire une bière au beurre ? J’t’invite ! » Emmeline la fixa, et vit alors Alice devenir rouge pivoine. Son amie dit alors : « Toi tu a vu Gilderoy ! T’es rouge comme une tomate ! » Gilderoy, ou le crétin de poufsouffle, pas vraiment le genre de garçon d’Alice, mais Emmeline l’enquiquinait avec ça depuis des semaines, elle était persuadé d’avoir vu « un signe » comme elle disait, soit disant leur regard c’étaient croisé dans la grande salle, et ça avait été le coup de foudre. Alice hocha la tête et dit alors : « Allez vient avant que des serpentards nous volent notre place ! » Il n’en fallu pas plus pour faire bouger Emmeline, les deux filles prirent alors place dans le bar, comme toujours, bien au fond, et on discuté, jusqu’à ce qu’elles réalisent qu’il était l’heure de rentré. Meilleures amies, et ce pour de longues années encore.

Des études d’auror, cela avait été la lubie d’Alice durant sa dernière année à Poudlard, elle avait fait en sorte d’avoir d’excellente notes en potion et en défense contre les forces du mal. Elle était d’une nature protectrice, et elle pensait que son métier allait lui permettre d’aider les gens dans une certaine mesure. En temps de guerre, c’est bien des gens pour protéger les gens et chasser les mangemorts qu’il faut, non ? Une année de dure labeur une année de théorie, une année à travailler, dur, tous les jours, sans jamais vraiment voir le terrain. Elle travaillait tous les soirs, assise à une des tables du petit commerce de son père une fois que celui-ci était fermé. Ce soir là, elle travaillait depuis des heures et semblait oublier ce qu’elle lisait à la seconde suivante. Elle poussait un long soupire, dehors le chemin de Traverse s’était déjà endormi, plus aucun sorcier ne passait par là. « Alice ? » Appela une voix dans l’arrière boutique. C’était Florian, son père. Elle leva alors les yeux de son parchemin, et passa une main sur ses yeux, se demandant quelle heure pouvait-il bien être. Elle vit alors sortir son père de la cuisine avec deux tasses de chocolat chaud, elle pouvait reconnaitre cette odeur succulente à des mètres à la ronde. Mr Fortescue n’était pas seulement doué pour faire des glaces, il était également doué pour faire d’excellent chocolat chaud avec un peu de chantilly et parfois même de la cannelle. Il s’approcha d’elle et posa – enfin essaya de poser – la tasse pour sa fille sur la table, quand celle-ci s’écria : « ATTENTION ! Ne pose pas la tasse sur mon livre, il va être… OH VOILA ! Il est tâché ! » Elle s’énervait facilement et surtout pour si peu depuis qu’elle avait commencé ses études d’auror. La réalité était qu’elle avait les capacités d’y arriver, mais… elle était stressé, la peur constante de l’échec, elle ne voulait pas échouer. Si elle ne faisait pas ça, que ferait-elle ? « Par… Pardon ! » dit-alors son père alors qu’Alice un peu énervée essayait de rassembler ses affaires les fourrant énervé dans son livre et fermant celui-ci avant d’attraper la tasse que lui tendait son père. Elle réalisait qu’elle était invivable ces derniers temps, et elle s’en voulait. « Désolé Papa, mais… j’suis fatiguée. » [/color] elle baissa les yeux, comme une enfant qui venait de se faire réprimander alors que son père n’avait jamais haussé le ton contre elle, du moins pas depuis la mort de sa mère, elle avait abandonné cette petite fille capricieuse derrière elle il y a longtemps et n’avait pas envie de la revoir. Elle porta alors la tasse de chocolat à ses lèvres, et son père pris alors place en face d’elle confortablement. « Qu’est ce qui se passe Alice ? » La jeune femme porta encore une fois la tasse à ses lèvres mais souffla dessus comme pour refroidir le liquide qui la première fois lui avait brûlé les lèvres. Elle ne savait pas quoi lui répondre, Alice avait toujours été franche avec son père et celui-ci l’avait toujours conforté dans ses choix, il avait accèpté, la laissant toujours faire ses propres erreurs pour en tirer ses propres conclusion. « Et… j’y arrive pas, c’est trop de travail, j’y arrive et le lendemain j’ai oublié tout ce que j’ai appris la veille… je suis perdue, c’est à peine si je sors la tête de mes livres. » Elle posa sa tasse sur la table et mis ses mains autours de celle-ci pour se réchauffer les mains. Son père esquissa un sourire : « Et si tu… arrêtais. Quelques temps, te changer les idées ce n’est pas en t’acharnant que tu y arriveras, prends du recul, et essaye l’année prochaine. » Il lui adressa un sourire, et Alice leva les yeux vers lui et dit : « Mais j’vais faire quoi si je fais pas ça ? » Elle connaissait sa réponse, elle savait ce qu’il allait dire, elle était prête à mettre sa main à couper. « Tu pourrais travailler avec moi, juste le temps de te reprendre, de te changer les idées, après tu feras ce que tu veux. » Vendre des glaces, ça n’avait jamais été le souhait d’Alice, mais avait-elle le choix ? Elle savait que son père ne voulait que son bien, et il avait raison, si elle s’acharnait, cela n’allait pas l’aider. « Je… pourquoi pas. » dit-elle alors en haussant les épaules, presque désinvolte, elle n’était pas de ce genre là, mais il le fallait bien. Son père esquissa un sourire, et se leva alors attrapant les livres de sa fille, et il dit alors avant qu’elle n’ait pu protester. « Vas te coucher, il est près de minuit, ça fait des heures que tu es dessus ; Bonne nuit ma chérie. » Il veillait sur elle, tout le temps. Elle ne le savait pas mais pour son père c’était une victoire, en éloignant sa fille des aurors, il l’avait aussi éloigné du champ de bataille, pour une période courte, hélas. Elle esquissa un sourire et dit alors « Bonne nuit Papa. » Elle n’alla pas se coucher tout de suite, pensive.

Elle a fini par devenir serveuse sur le chemin de Traverse dans la boutique de glace de son père. Elle était d’une nature plutôt maladroite quand il s’agissait de cuisine, elle était incapable de faire à manger sans se brûler, alors, elle avait été relégué au service, mais entre nous, ça n’était guère mieux, voilà un an qu’elle vendait des glaces, elle n’avait finalement pas repris ses études, les laissant de côté. « Une glace à la vanille » dit-alors le jeune homme assit à la table, Alice répondit alors avec entrain « Tout de suite. » Elle tourna les talons, et revint avec une glace, un peu dans la lune d’ailleurs. Ce soir, elle avait prévu de sortir avec Emmeline pour se changer les idées, rencontrer un peu de monde, sortir quoi. Depuis qu’elle savait que ce soir elle allait avoir un peu de liberté, elle était complètement ailleurs. Elle s’approcha alors de la table où le garçon avait commandé, quand elle le vit il s’agissait plus d’un ravissant jeune homme que d’un garçon, elle l’avait reconnu, parfaitement. Emmeline avait tellement fantasmé sur Benjy Fenwick durant toutes ses années à Poudlard qu’Alice reconnaissait facilement un ami de celui-ci, Frank Longbottom. Emmeline passa par là et lui fit un grand signe de la main, alors qu’elle allait servir le jeune homme elle leva la tête et posa la glace… à côté de la table, elle la lâcha sur les genoux du sorcier. Il se leva d’un bon et s’écria alors, très énervé : « Mais c’est pas possible d’être aussi maladroite ! » Il semblait hors de lui. Elle le fixa, quand il ajouta : « Complètement stupide ! Tu l’as eut dans une chocogrenouille ton diplôme de serveuse ? » Oula, il l’insultait presque enfin non… il l’insultait. « Non mais oh ! » s’écria alors Alice en le fixant. « C’est une erreur ! Calmez-vous ! » Elle s’éfforçait de rester calme. Il la fixa. « Pardon ? Rester calme ? J’ai rendez vous dans moins d’une demi heure, je suis sensé y aller couvert de glace ? Vous êtes incompétente ! » Il enfonçait le clou. Elle rétorqua alors : « Non mais il se prend pour qui celui là ? Déjà je me permets de vous rappelez que quand on passe une commande on dit ‘s’il vous plait’ et que si vous n’êtes pas content votre glace vous allez la manger ailleurs et aller vous faire voir chez les géants voir si j’y suis ! » Elle tourna alors les talons avant de se retourner et de lui jeter à la figure son torchon et d’ajouter : « Un sorcier intelligent saurait qu’il existe un sort pour nettoyer ses vêtements ! Faut arrêter de se reposer sur sa mère passé un âge ! » Elle le toisa avant de tourner définitivement les talons. Elle fut alors rattrapée avant d’atteindre l’arrière boutique par ce même jeune homme, Frank, qui lui attrapa le bras, et dit alors en l’arrêtant : « Vous… pouvez m’aider ? » Alice se retourna alors et leva un sourcil, et rétorqua avec un sourire narquois : « Hélas, je ne suis pas votre maman. » Il poussa un soupire, visiblement il ne connaissait pas le sort pour laver ses vêtements à vitesse grand v, l’hypothèse de la mère intrusive ou de la petite aime qui s’occupait de tout se tenait. « S’il vous plait… je suis désolé. » Elle le regarda, il avait vraiment l’air désolé. Alice était trop gentille, mais Frank n’avait pas l’air d’être un mauvais bougre dans le fond. Elle poussa un soupire et dit alors : « Okay, suivez-moi. » Elle poussa alors la porte de l’arrière boutique. Et sorti alors sa baguette de la poche de sa veste. Elle fit face au sorcier pointant sa baguette vers les genoux du sorcier et usa d’un sortilège informulé, et le pantalon du sorcier fut alors comme neuf. Elle dit alors simplement, « Voilà, Mr Grincheux. » Elle lui adressa un petit sourire, se souvenant que passé un temps elle avait eut un coup de cœur pour lui, sans jamais s’écouter, il regarda son pantalon visiblement satisfait du résultat. « Merci, vraiment… j’suis désolé de m’être emporté comme ça, ce rendez est… important. »Alice esquissa un sourire avant de répondre : « Cette fille doit être chouette pour que… tu… vous soyez aussi attentif à votre apparence. » Elle esquissa un sourire, et il s’empressa de répondre : « En fait c’est pour mon travail, j’suis convoqué au bureau des Aurors. Pas pour une fille. » Alice esquissa un petit rire, et dit alors : « Alors c’est bien votre mère qui s’occupe de vos vêtements ? » Elle était d’une nature plutôt franche. Il rit alors et sembla plutôt gêné, et dit alors : « Oui… ma mère. » Elle ne se souvenait plus vraiment ce que c’était d’avoir une mère. Il regarda alors sa montre et dit alors « Va falloir que j’y aille, je… je m’appelle Frank, Frank Longbottom. » Elle sourit alors, savant qui il était. « Je sais, je suis Alice Fortescue, tu es ami avec Fenwick, mon amie me parle de lui depuis qu’on a quatorze ans. » Elle rit alors, et il rit avec elle avant de dire : « La rousse… un peu folle ? » Rousse, et folle, oui, c’était un peu Emmeline, « Oui, c’est elle. » Il semblait bien savoir de qui ils parlaient, si Alice disait que Fenwick la trouvait folle, elle n’allait sans doute pas aimer. Il sembla prendre une grande inspiration avant de dire : « Ce soir, j’vais boire un verre avec des amis au chaudron baveur… ça te dirait de venir ? Tu peux emmener la rousse, si tu veux. » Alice haussa un sourcil, un rendez-vous ? « Un rendez-vous ? Oui, pourquoi pas. » Il sembla ravi de la réponse et regarda sa montre avant de dire « Parfait cette fois faut vraiment que j’y aille, on dit… 20h ? » Elle sourit « Parfait. » Elle esquissa un sourire, et le regarda tourner les talons. Elle avait un rendez-vous, même si ce crétin l’avait insulté, il n’en restait pas moins… charmant.

En ce qui concerne le passé de votre personnage. Merci de faire un poste de minium 30 lignes pour présenter votre personnage. Il faut donc parlez de plusieurs choses, sa famille, son histoire, son attitude, son physique etc. Vous pouvez le faire sous forme de journal intime, de témoignages d'une tiers personnages, de petite anecdote, de façon classique, ou bien un simple rp. Merci de nous parler également du caractère, vous pouvez faire des paragraphe séparés si vous le souhaitez. En ce qui concerne le passé de votre personnage. Merci de faire un poste de minium 30 lignes pour présenter votre personnage. Il faut donc parlez de plusieurs choses, sa famille, son histoire, son attitude, son physique etc. Vous pouvez le faire sous forme de journal intime, de témoignages d'une tiers personnages, de petite anecdote, de façon classique, ou bien un simple rp. Merci de nous parler également du caractère, vous pouvez faire des paragraphe séparés si vous le souhaitez. En ce qui concerne le passé de votre personnage. Merci de faire un poste de minium 30 lignes pour présenter votre personnage. Il faut donc parlez de plusieurs choses, sa famille, son histoire, son attitude, son physique etc. Vous pouvez le faire sous forme de journal intime, de témoignages d'une tiers personnages, de petite anecdote, de façon classique, ou bien un simple rp. Merci de nous parler également du caractère, vous pouvez faire des paragraphe séparés si vous le souhaitez.