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 HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you

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MessageSujet: HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you   HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you Icon_minitimeDim 10 Mar - 20:14


I hate every thing about you
Hades & Asphodel

Couchée dans un lit qu’elle jugeait bien trop petit, Asphodel ne parvenait a trouvé le sommeil. Changeant de position au rythme des cliquetis de l’horloge. Elle ne supportait plus cet éternel tic-tac. En fait, elle ne supportait plus cette chambre dans laquelle elle avait été recluse depuis que l’abominable créature qui leur avait été offert par les Nott avait craché son venin et avait pourri le crane de son cher et tendre par des mensonges… Bon, il y avait peut-être une part de vérité, mais la belle brune ne se sentait absolument pas concernée. Elle se sentait tout aussi pure que n’importe quelle sorcière au foyer qu’elle avait eu l’occasion de rencontrer. Elle l’était peut-être même plus que certaines. Elle laissait échapper un soupire. Exaspérée et agacée, elle lançait un regard circulaire aux alentours. Les paupières se refermaient alors qu’elle s’enfonçait un peu plus contre les coussins moelleux. Rien n’y faisait. Le sommeil lui faussait compagnie. Au même titre que son époux qui avait pris le lit conjugal pour siège après l’en avoir bannie. Ces derniers mois, elle s’était pourtant habituée à la présence d’un corps auprès du sien. Elle ne supportait pas le rejet que lui infligeait Hades depuis qu’il avait découvert la véritable nature de la jeune femme. Elle avait pourtant tenté mainte et mainte fois de se refaire une place au côté de son mari, mais rien ne pouvait calmer les blessures infligées à l’égo surdimensionné du jeune Monsieur Nott. Elle finissait par rejeter la couverture pour s’en extirpé. Elle avait l’impression d’être une gamine que l’on avait punie sans qu’elle ne puisse protester. C’était insupportable. Hades l’avait réduite à cela… Une parfaite petite sorcière d’intérieur qui se pliait à la moindre des volontés. Elle s’en était contentée jusque-là, s’estimant heureuse que la vérité ne se soit ébruitée. Mais les nerfs à vif, la situation lui paraissait intolérable. Sa place n’était certainement pas ici, dans cette chambre et encore moins dans ce lit vide et froid, loin de son époux. Quoi qu’en dise le pauvre bougre, ils étaient toujours unis par les liens du mariage. Ce qui voulait probablement dire que la belle avait une place toute indiqué dans le lit conjugal. Elle se redressait, ses pieds nus rejoignant le sol froid. Elle ne prit même pas la peine d’illuminer les lieux, mais, elle eut tout de même le réflexe de s’emparer de sa baguette magique. Elle savait pertinemment qu’elle allait entre sur un terrain particulièrement glissant. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle y fonçait. Elle cherchait la confrontation. D’une certaine manière, elle savait qu’il n’y avait que comme cela qu’elle pourrait le récupérer. Amadoué l’aîné des Nott ne servirait probablement pas à grand-chose. Non, elle devait lui prouver ce qu’elle valait et elle ne le ferait certainement pas à s’écrasant devant lui. Son orgueil avait été blessé ? Certes, mais ramper sagement à ses pieds seraient admettre qu’elle était coupable. Ce qui n’était vraisemblablement pas le cas. Elle n’avait jamais voulu souillé la famille Nott, bien au contraire.


La brune se faufilait dans la maison avec aisance malgré l’obscurité qui y régnait. Seul le bruit de ses pas troublait le silence des lieux. Elle vint finalement pousser la porte de la chambre de son mari, enfin, techniquement, il s’agissait de LEUR chambre. Elle passa le seuil de la porte, rassurée par la respiration calme et régulière d’Hades. Cela faisait des semaines qu’elle ne l’avait pas vu aussi paisible. Elle regrettait les premiers temps de leur union. Tout était tellement simple. Il avait fallu que cette stupide créature ouvre son clapet et retourne le cerveau de son époux. S’il n’était pas sous la protection d’Hades, elle l’aurait probablement réduit au silence éternel. Malheureusement, son cher époux avait trouvé en cette erreur de la nature, une servitude et une loyauté à toute épreuve. De quoi soigné son égo blessé et meurtri. Elle s’approchait de sa silhouette, endormi et paisible. Ses traits toujours tirés, marqués par les tracas et les inquiétudes qu’elle avait éveillés en lui. Il était agréable à regarder. Elle avança sa main vers son visage et se ravisa à l’instant où elle allait l’effleurer. Oh, elle allait le tirer de ses songes, mais pas comme cela. Un sourire se glissa sur les lippes de la demoiselle alors qu’elle contournait le grand lit qu’ils avaient partagé pendant de long mois. Elle se glissa sous les draps, se faufilant sournoisement auprès de lui, tout en sachant la fureur que cela éveillerait en lui. Au fond, c’est peut-être ce qu’elle cherchait. Si elle avait adoré les premiers mois de leur mariage, elle ne l’avait jamais autant désiré que lorsqu’il déversait sa colère sur sa personne. Elle avait découvert une toute autre facette de lui, terriblement séduisante, violente et imprévisible. Les doigts de la demoiselle s’immisçaient sous le tissu, parcourant sa peau. Elle savait pertinemment que cela le réveillerait et que sa réaction serait brutale. Peu importe. Elle avait envie de jouer avec le feu, elle avait envie de le provoquer. S’il avait voulu se débarrasser d’elle, il l’aurait probablement déjà fait, alors, peut-être qu’il y avait une lueur d’espoir pour eux… Ses lèvres vinrent se poser au creux de son cou, alors que ses doigts lui arrachaient quelques frissons, malgré lui. Elle aimait le torturer, même si elle savait que cette torture se retournerait contre elle. Et très rapidement, puisque le jeune Monsieur Nott commençait déjà à se mouvoir. Elle n’enleva pas ses mains pour autant, savourant le contact de sa peau pour encore quelques secondes. Il allait la repousser d’un instant à l’autre. Se serait probablement brutal. Elle le savait, elle s’y attendait et elle s’y préparait, mais ne s'en détachait pas pour autant.
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Hades A. Nott


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MessageSujet: Re: HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you   HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you Icon_minitimeDim 10 Mar - 23:37

Ses nuits étaient agitées, troublées par de sombres pensées qu’il ne devait qu’à une seule et même personne. Hades en perdait le sommeil, son esprit divagant, alors qu’il ne pouvait s’empêcher d’imaginer les pires scénarios possibles pour conclure son triste sort. Il était tout à tour désemparé, furieux, perdu devant cette situation qui lui semblait difficilement surmontable. Comment aurait-il pu prévoir une telle trahison? Un mensonge si bien ficelé que ses parents, puis lui-même, n’y avaient vu que du feu. Son orgueil avait été salement atteint, son honneur piqué à vif. Asphodel n’avait pas eu le temps de s’expliquer. Il n’attendait rien d’elle, et rien de ce qu’elle aurait pu dire n’aurait trouvé écho chez Hades. Ses lamentions n’avaient aucune valeur, il refusait d’entendre quoi que ce soit. Le mieux aurait été qu’elle disparaisse. Mais rien n’était jamais aussi simple, et les gens n’auraient pas manqué de se demander ce qui était arrivé à l’aimable épouse de l’ainé des Nott. Sans compter sur sa sœur jumelle, à laquelle il aurait fallu réserver un traitement similaire. Les Nott étaient dos au mur. Mais Hades était le seul à le savoir, et ce secret le consumait de l’intérieur, alors qu’il tentait en vain d’y trouver une solution qui ne jetterait pas l’opprobre sur les siens. Ce soir-là, il était allé se coucher avec les mêmes pensées en tête que celles qui le hantaient depuis quelques semaines déjà. Ces idées noires ne semblaient pas le laisser en paix, peuplant ses cauchemars, l’assaillant de nouveau dès les premières heures du jour. Le cas d’Asphodel n’était pas l’unique préoccupation. Le dilemme qu’elle lui posait était pernicieux et toxique, mais c’était bien son épouse elle-même, plus que son sang, qui laissait chez Hades des interrogations qu’il fuyait par tous les moyens. Car ces quelques mois d’euphorie avaient été étonnement agréables. Il avait appris à jouer les époux modèles, se découvrant pour elle une attirance qui dépassait le stade purement physique. Il aurait pu prendre goût à ce mariage, si celui-ci n’était pas basé sur un mensonge qui remettait en cause tout l’honneur du clan Nott. Elle les avait volontairement souillés, refusant aux descendants d’Hades et de son frère le droit d’être de sang pur, comme la maison des Nott y était si furieusement attachée. Il avait fini par s’endormir, au bout de quelques heures à tourner en rond dans son grand lit froid. Il avait relégué sa femme dans une chambre modeste de l’étage supérieur. Sa présence n’avait pu lieu d’être dans le lit conjugal, et encore moins à ses côtés. Il lui avait à peine laissé le temps de prendre quelques affaires dans leur chambre, refusant désormais qu’elle pose un pied ici. Le mieux aurait encore été qu’elle parte pour de bon. Mais Asphodel était coriace, déterminée, et même les coups que son mari lui avait porté n’avaient eu raison de sa ténacité. En d’autres circonstances, il aurait admiré cette qualité. Mais dirigée contre lui, elle n’était qu’une insulte supplémentaire à ses yeux.

Il s’éveilla lentement. Sentant dans le creux de son cou des lèvres qui s’y étaient déjà invité à de nombreuses reprises. Asphodel venait d’enfreindre les règles que son époux lui avait imposées. Elle était téméraire, sinon folle de se risquer à pareille démarche. Ses doigts parcouraient le torse de son mari avec une douceur contraire à la situation dans laquelle elle venait de plonger son époux et elle. Un instant, Hades parut se laisser faire. Il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits. Associer de nouveau le nom d’Asphodel à celui de l’injure qu’elle lui avait faite. A ce moment précis, l’homme bafoué reprit le dessus. Ne laissant plus à sa femme l’occasion de s’aventurer plus loin dans ses expériences. Il attrapa chacun de ses poignets avec force, regrettant que la pénombre ne révèle pas suffisamment l’expression de sa femme à cet instant. « A quoi t’attendais-tu, Asphodel ? » Sa voix était froide, dénuée de toute émotion. Pourtant, à l’intérieur, il bouillonnait, à présent parfaitement éveillé. Ce sursaut dans la nuit, cette présence incongrue qui quelques mois plus tôt n’aurait pas été pour lui déplaire, semblait aujourd’hui capable de jouer sur ses émotions plus qu’aucune autre chose. Jamais, avant Asphodel, ne s’était-il plongé dans une colère aussi grande. Dans une violence aussi gratuite. Elle faisait naitre en lui des émotions destructrices. Le plus étonnant était de voir que malgré cela, elle ne le fuyait pas. Pire, elle semblait vouloir les provoquer. Comme en témoignait ce soir sa présence contre lui. Desserrant son emprise, il entreprit de la repousser en arrière, se relevant légèrement pour allumer la lampe posée sur la table de chevet toute proche. A la lumière du candélabre, Asphodel était éblouissante. Sa beauté était connue de tous, et beaucoup avaient félicité les frères Nott d’avoir su s’attirer les faveurs des sœurs Fitch. Mais la contemplation n’était pour l’instant pas de rigueur. De ce même regard dur et dégouté qu’il lui adressait désormais à chacun de leurs échanges, il poursuivit. « Sors d’ici. A moins que tu ne veuilles que je m’en charge moi-même. » Des menaces, encore et toujours. Voilà ce qu’était devenu le mariage d’Asphodel et Hades Nott. Une succession de provocation qui ne visait qu’à tester l’autre. Une incessante domination qui ne pourrait pas durer éternellement.

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MessageSujet: Re: HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you   HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you Icon_minitimeLun 11 Mar - 7:13

Les doigts de son époux se refermaient finalement sur ses poignets, l’interdisant de poursuivre les caresses qu’elle était en train de lui prodigué. Un sourire vint fendre ses lèvres. Elle ne réjouissait nullement d’être repoussée de la sorte, mais elle n’en attendait pas moins de lui. Le contraire aurait même été étonnant. Les doigts de la demoiselle se refermèrent délicatement, après avoir tenté un ultime effleurement. A quoi t’attendais-tu, Asphodel ? Un rire silencieux s’extirpa de ses lèvres. Que croyait-il ? Qu’elle était naïve au point d’espérer qu’il ait tout oublié et l’accueille dans le creux de ses bras ? Mais lui dire qu’il avait été on ne peut plus prévisible et qu’elle ne s’était pas attendue à autre chose de sa part aurai été trop simple, trop sage. Elle n’était pas là pour cela. Elle ne le récupèrerait pas dans le mielleux et les mièvres. Il n’était pas comme cela. Elle non plus d’ailleurs. C’était peut-être pour cela que leur union avait été si simple, parce que les deux jeunes mariés s’accordaient sur un bon nombre de choses. Peut-être un peu de chaleur. Comme s’il était enclin à lui en donner. Le simple fait d’en parler devait le révulser au plus haut point. Elle n’était plus que dégout et mépris aux yeux d’un mari qui l’avait pourtant toucher comme personne ne l’avait fait auparavant. Il la repoussa alors, s’inquiétant de briser le contact physique entre eux, comme si elle avait la capacité de le brulé, le souillé par le simple fait de le toucher. Au fond, c’était risible. Rien n’avait changé depuis leur dernière étreinte, si ce n’était la vérité qui lui avait éclaté entre les mains. Cette vérité n’expliquait aucunement cette distance physique qu’il avait immédiatement instaurée. Cela ne changeait rien. S’il avait dû être sali, il l’était déjà et il ne servait plus à rien de prendre de telles précautions. La lumière éclairait à présent la pièce. Elle planta son regard dans celui de son époux, le souvenir d’un sourire planant à la commissure de ses lèvres. Désinvolte et sauvage, elle ne perdait en rien le charisme et la prestance qui avait plu aux Nott.

Sors d’ici. A moins que tu ne veuilles que je m’en charge moi-même. Le ton de son époux et catégorique et menaçant, mais la demoiselle ne bougea pas d’un poil, fixant ce mâle en puissance user de son autorité de mari pour essayer de la soumettre. Elle lui avait laissé le temps d’avaler la pilule, elle s’était effacée et s’était faite discrète. Ce n’était pas dans sa nature d’être aussi docile. Elle avait suffisamment attendu. Elle estimait que si l’égo et l’orgueil de son mari était toujours meurtri par ce qu’il prétendait être une trahison, son silence ne changerait strictement rien. Il fallait qu’elle le confronte à elle et à ses démons, il fallait qu’elle lui fasse voir ce qu’elle était, ce qu’elle valait. Qu’avait-elle à perdre, de toute façon ? Rien. Il la toisait, attendant vraisemblablement qu’elle quitte le lit conjugal pour regagner la petite chambrette dans laquelle il l’avait congédié. Elle n’en fit rien. Toujours dans le lit, elle remonta les draps sur son corps, à peine vêtue. Ses doigts se glissèrent contre le bois de sa baguette. Elle l’avait posée en se glissant sous le drap de son mari. Elle pourrait lui être utile, à un moment où un autre. Maintenant qu’il l’avait repoussée, tout était possible. Hades était venu impulsif, violent et instinctif. Elle ne l’avait jamais vu comme cela auparavant. Elle s’installa confortablement contre les coussins moelleux.

Non. TU es celui qui a un problème avec notre mariage. Si je te répugne à ce point, tu peux toujours aller dormir dans la chambre d’ami. Que tu le veilles ou non, chéri, cette chambre est autant la mienne que la tienne. Elle n’avait pas détourné le regard de lui, se délectant de la fureur qui était en train de l’embraser de l’intérieur. En apparence, il paraissait calme et posé, mais la profondeur de son regard le trahissait, au même titre que cette lueur assassine qui y étincelait, dangereusement. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il n’explose. Il l’avait prouvé auparavant, il était capable de la rouer de coup. Mais elle, l’avait aussi prouvé, elle ne le craignait pas. Était-ce l’amour du risque ou simplement le lien d’attachement qui s’était tissé entre eux au fil des mois. Elle ne s’était jamais imaginé ressentir cela, c’était encore nouveau pour elle. Elle commençait tout juste à se faire à l’idée qu’elle puisse l’aimer que tout cela lui avait explosé en plein visage. Elle était rongée et dévorée par ses propres sentiments, alors, elle les avait rejetés, craignant de ne pouvoir être lucide et réfléchie. Les sentiments avaient tendance à obscurcirent les jugements. Elle ne pouvait se le permettre, elle ne pouvait prendre le risque de le perdre. Elle ne savait pas ce qu’elle ressentait pour lui, elle ne savait pas si elle souffrirait plus de son absence ou du fait d’être répudiée. Mais une chose était certaine, elle en souffrirait. Plutôt crever que de ressentir une telle souffrance. Elle s’était préservée toutes ses années, ce n’était pas pour finir comme cela. Détruite par un homme, elle. Cet homme, là, en face d’elle. Se doutait-il une seule seconde du pouvoir qu’il avait sur elle et sur sa vie ? Probablement pas. C’était mieux comme cela. Sa fureur l’aveuglait et il l’utiliserait pour la détruire. Elle s’était laissé prendre à son propre piège. Elle s’était laissé prendre par des sentiments qu’elle ne contrôlait pas. Elle était plus perdue qui n’y paraissait, mais elle n’en montrait rien. Elle attendait les prochaines joutes, verbales ou physiques, peu importe, elles arriveraient bien assez tôt. Asphodel se tenait prêté à encaisser en silence, peu importe ce que cela provoquerait chez elle, elle se devait de garder une certaine distance pour que leur mariage ait une chance.
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MessageSujet: Re: HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you   HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you Icon_minitimeMer 13 Mar - 22:32

Cruelle tentatrice. A la fois objet de ses désirs et instigatrice d’un péché qu’Hades se refusait de commettre. La beauté envoutante d’Asphodel était aussi hypnotique qu’elle était vénéneuse. Cette femme, elle le savait, pourrait causer la perte des Nott, et pourtant elle demeurait là, devant Hades, provocante et offerte à l’héritier du clan. Il aurait tant voulu succomber à ses instincts les plus primitifs, et oublier l’honneur et le rang. Savourer une nouvelle fois les courbes de sa sublime épouse, embrasser ses lèvres dans un baiser passionné. Mais il restait un Nott, et elle, une impure et une menteuse qu’il devait éviter à tout prix. Son orgueil avait été mis à vif, et semblait recouvrir toute autre émotion, sa colère lui dictant sa conduite, étouffant la voix de la passion. Asphodel était assurée, mais Hades l’était tout autant. Ou du moins, était ce qu’il voulait s’imaginer, persuadé de pouvoir garder sa constance face à sa provocante épouse. Elle voulait de la chaleur, disait-elle. Ca n’était pas grand-chose, à bien y penser. Mais s’il cédait, s’il consentait à un rapprochement, Hades laisserait entendre qu’il n’était pas grave que son épouse se soit jouée de lui. S’il cédait un pouce de terrain, le message qui se cachait derrière serait lui bien plus important. Et voilà une chose à laquelle le sorcier ne pouvait se résoudre. Pourtant, Merlin sait à quel point elle était attirante, dans ce déshabillé qui laissait aisément entrevoir ses formes. Et si elle avait eu davantage de force pour lui résister, tout à l’heure, alors Hades aurait fini par se laisser emporter dans le tourbillon de sa propre flamme, coupant court à tous ses raisonnements, toute sa logique, faisant taire cet orgueil insensé qui repoussait Asphodel loin de lui. La lumière qui inondait désormais la pièce flattait l’éclat de la jeune femme, et son sourire mutin perceptible au coin de ses lèvres laissait facilement deviner les pensées de la jeune femme. Elle n’était pas du genre à se laisser impressionner par une voix grave et des yeux plissés. C’est cela qui avait plus aux Nott : ce caractère affirmé qui n’en faisait pas une femme comme les autres, lisses et ennuyeuse. Elle était une femme de pouvoir. Ils ignoraient simplement que pour y accéder, elle avait été prête à toutes les tromperies et à toutes les trahisons. Qu’importe les menaces ou les coups, Asphodel restait imperturbable, inflexible. Même la dernière remarque de son époux ne parvenait à la déstabiliser. Pourtant, les coups portés ces dernières semaines témoignaient de la ferveur qu’il mettait à joindre le geste à la parole. Ses menaces étaient souvent suivies d’effet. Mais Asphodel semblait s’en accommoder, souffrant en silence, cachant ses bleus avec du maquillage ou d’autres artifices. Hades l’en admirait presque, même si une part de lui lui en voulait encore davantage de faire ressurgir ce trait de personnalité en lui. Il n’aurait jamais cru être capable de lever la main sur elle avec autant de leste. Sa colère prenait le dessus, et il ne voyait rien d’autre que sa rage aveugle diriger ces coups contre son épouse. Ce qu’elle avait fait de lui le répugnait sur bien des aspects. Un fils déshonoré, un homme violent, un époux fuyant.

Pour toute réponse, elle se calla confortablement contre les coussins sur le sommet du lit. Hades la fusilla du regard, sentant son agacement monter d’un cran. Son insolence lui était intolérable. Elle était la fautive, et agissait comme si de rien n’était. Hades descendit du lit, ne supportant plus cette faible distance qu’elle avait installé entre eux. La réponse d’Asphodel était à la hauteur de cette fougue avec laquelle elle agissait depuis son entrée dans la chambre. Une nouvelle provocation. A croire qu’elle cherchait le contact avec Hades désespérément, même quand celui-ci se traduisait par la violence d’un coup porté contre sa peau fragile. Non. TU es celui qui a un problème avec notre mariage. Si je te répugne à ce point, tu peux toujours aller dormir dans la chambre d’ami. Que tu le veuilles ou non, chéri, cette chambre est autant la mienne que la tienne. Hades contracta l’un de ses poings, pour calmer cette rage qui croissait en lui de minute en minute. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait, et ça n’en était que plus déstabilisant pour son époux. Commençant lentement à faire le tour du lit, il poursuivit, sa voix aussi froide qu’avant. « Tu as l’air d’oublier à qui appartiennent ces meubles, cette maison. Tout ici est à moi, à mon clan. Et je ne partagerais pas avec la trainée qui s’est faite passer pour plus noble qu’elle ne l’est. » Sa phrase à peine achevée, il était déjà à sa hauteur, de son côté du lit. Elle allongée contre les coussins, lui debout si près. Elle semblait ainsi si faible qu’en une fraction de seconde, il aurait pu en terminer avec Asphodel Nott. Mais ça n’était pas aussi simple. Rien ne l’était jamais vraiment. Sa mort ne serait qu’un embarra de plus, qu’il lui serait cette fois impossible de cacher. Pourtant, emporté par ses pulsions qu’il ne maitrisait plus aussi facilement, il se surprit à poser l’une de ses mains sur son cou frêle. Il s’était penché vers elle, son torse tout près de sa poitrine, sa bouche proche de son oreille. Serrant le cou de sa femme avec une emprise suffisante pour la maintenir à sa merci, il reprit. « Tu as aussi l’air d’oublier qu’en une fraction de seconde, Asphodel Nott pourrait appartenir au passé, chérie. » Il avait accentué son dernier mot. Elle n’était pas la seule à pouvoir utiliser ce terme avec toute la provocation du monde. Hades se laissait plus facilement déstabiliser qu’elle, mais il avait une arme qu’elle n’osait utiliser contre lui : la violence. Et s’il n’en faisait que rarement usage, Asphodel avait fait naitre en lui un besoin insatiable de s’accorder justice. Elle n’avait, après tout, rien d’une victime.


Dernière édition par Hades A. Nott le Jeu 14 Mar - 13:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you   HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you Icon_minitimeMer 13 Mar - 23:37

Tu as l’air d’oublier à qui appartiennent ces meubles, cette maison. Tout ici est à moi, à mon clan. Et je ne partagerais pas avec la trainée qui s’est faite passer pour plus noble qu’elle ne l’est. Hades s’était levé, comme pour échapper à la proximité qu’elle lui imposait. Mais voilà, le jeune Monsieur Nott revenait vers son épouse, lui crachant du venin sans qu’elle ne semble s’en formaliser. Un sourire vint fendre les lèvres de la demoiselle. Ces meubles, cette maison, tout leur appartenait à tous les deux et ce depuis l’instant où ils s’étaient unis l’un à l’autre. Mais il ne voyait que ce qu’il voulait voir. Je suis une trainée ? Oh… Et qu’est-ce que cela fait de toi ? TES meubles. TA maison. On pourrait presque croire que tu me payes pour avoir me faveurs… Un nouveau sourire, plus qu’entendu. Elle continuait dans le sens de la provocation. Elle ne cèderait pas à la menace, pas plus qu’elle ne cèderait à la violence. Il voulait la blesser comme elle l’avait blessé en le trahissant de la sorte ? Qu’il en soit ainsi, mais elle ne lui donnerait jamais la satisfaction de lui montrer ses faiblesses. Non. Elle n’était qu’une trainée ? Elle se ferait un plaisir de le prendre au mot et de discréditer chacune des insultes qu’il lui envoyait. Elle ne prenait même pas la peine de le contredire, elle jouait dans son jeu pour mieux le retourner contre lui. Elle était blessée, sans qu’elle ne sache exactement pourquoi… Elle savait pourtant ce qu’elle était, ce qu’elle valait et elle ne prenait pas la peine de s’arrêter sur le jugement d’autrui. Alors pourquoi était-ce si différent cette fois ? Pourquoi se sentait-elle si misérable, si sale ? Elle n’en montrait rien, le menton redressé avec fierté. Puis, sans qu’elle ne comprenne trop comment ils en étaient venus là, Hades se trouvait penché par-dessus elle, la main enserrant sa nuque. Il était proche, tellement proche, elle pouvait sentir son souffle caressé délicieusement sa peau pour lui arracher quelques frissons. Comment pouvait-elle ressentir un tel désir alors que les doigts de son époux se refermaient un peu plus contre sa gorge.

Tu as aussi l’air d’oublier qu’en une fraction de seconde, Asphodel Nott pourrait appartenir au passé, chérie. Oh, elle ne l’oubliait certainement pas. Mais la mort ne lui faisait absolument pas peur. Il croyait que c’était une fin, la pire des souffrances, alors qu’elle, elle préférait finir ainsi plutôt que d’être répudiée. Oh, elle n’était pas suffisamment sotte pour lui avouer ses faiblesses, mais elle ne comptait non plus lui laissé croire que ses menaces l’impressionnaient. Alors que les doigts d’Hades étaient maintenus autour de la gorge d’Asphodel, celle-ci glissa à nouveau ses doigts contre son torse. Les effleurements gagnèrent en intensité, jusqu’à ce que les ongles de la jeune femme viennent taquiner la chaire de son homme. Son autre main tenai toujours sa baguette, en prévision d'une réponse, toujours plus violente de la part d'Hades. Qu’est-ce que tu attends ? Hein ? Mais tu ne le ferras pas, n’est-ce pas ? Hm. Non, bien sûr que non, sinon ce serait déjà fait depuis bien longtemps. Sa voix était troublée par le maintien de cette main, cette fermement accroché à sa gorge, cette main qui l’empêchait de respirer convenablement, cette main qui restait posée sur elle. Son visage se tourna, faisant face à son mari, ses lèvres venant effleurer celle du garçon. Un murmure, un souffle, elle le narguait de ses lèvres, attisant un désir dont elle n’était plus certaine de l’existence. Elle doutait, mais elle n’en montrait rien. Dans un même temps, l’une de ses jambes s’était soulevée pour venir contre son flan. Tentatrice. Oh. Elle s’attendait à ce qu’il la repousse encore, mais elle misait sur le désir et la passion qui les avaient consumés dans les premiers temps de leur relation. Si, comme elle l’espérait, il ressentait toujours ce genre de sentiment, elle comptait bien le torturer et le provoquer jusqu’à ce qu’il ne revienne entièrement à elle. Parce que d’une certaine façon, s’il cédait, c’est qu’il n’avait pas complètement tourné la page et qu’il demeurait quelques choses de leur histoire. Elle se raccrochait fermement à cet espoir. Puisqu’il refusait d’entendre ce qu’elle avait à dire, elle devait trouver d’autre stratagème pour attirer l’attention de son époux. Son regarde s’était ancrer dans celui d’Hades. Elle le défiait. Elle l’allumait. Mais dis-moi, chéri, qu’est ce qui te fait le plus mal, que je t’ai mentis ou que tu te sois laissé dupé aussi facilement ? Elle n’usait pas de violence, cela ne servait à rien, elle n’avait pas la carrure pour entrer dans un rapport de force physique. Mais si elle n’usait pas de la force aussi bien qu’elle le faisait, Apshodel était une experte en l’art d’user les mots pour toucher là où cela faisait mal. Tout en sachant pertinemment que cela pourrait se retourner contre elle. Elle était prête à courir le risque et surtout, à lui renvoyer la balle. Elle savait ce qu’elle voulait. Elle l’obtiendrais, d’une façon ou d’une autre.
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MessageSujet: Re: HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you   HADES&ASPHODEL X I hate every thing about you Icon_minitimeJeu 14 Mar - 14:39

En cet instant, Hades pensait la situation sous contrôle. Une simple pression de la main sur le cou fin de son épouse, et il aurait définitivement gagné la partie. Il était en mesure de sceller son destin, décider du sort de son épouse, de la suite à donner au cours des évènements. Il aimait se croire capable du pire comme du meilleur, unique décideur d’un destin qui avait décidé de le tourmenter. Il faisait taire cette voix qui le mettait au supplice dans un coin de sa tête, refusant d’admettre que la perte d’Asphodel serait bien plus difficile à surmonter que ce qu’il se plaisait à croire. Les répliques acerbes de son épouse, qu’il devinait difficile à formuler avec cette main refermée sur son cou, n’ajoutaient qu’un peu plus à sa colère, et à son besoin de contrôler les choses. Il avait besoin de ça, pour au moins savoir qu’il ne perdait pas totalement pied. Je suis une trainée ? Oh… Et qu’est-ce que cela fait de toi ? TES meubles. TA maison. On pourrait presque croire que tu me payes pour avoir me faveurs… Il était son jouet, d’une certaine façon. Se sentir ainsi rabaissé en la voyant si assurée ne faisait que ronger Hades encore bien davantage. Il aurait été facile de la faire souffrir physiquement autant qu’elle le torturait psychologiquement. Mais ça n’était pas une fin, et encore moins une solution. Car dès demain, le problème se représenterait à l’identique. Et viendrait le jour où l’on découvrirait que les coups portés sur la peau d’Asphodel étaient ceux de son mari. Le maquillage ne suffirait pas toujours à cacher les failles de leur couple. La violence n’était qu’un remède passager, certainement pas ce qui allait soigner le mal qui rongeait Hades. A défaut d’accorder une réponse à une phrase qui n’en attendait pas vraiment, il enfonça ses ongles dans la peau de son épouse, inconsciemment. Elle marquait des points, sûre d’elle. Hades n’en état que plus dégouté à chaque seconde qui passait. Cette vulnérabilité devait cesser de n’importe quelle façon qui soit. Elle voulait jouer ? Elle semblait sous-estimer la capacité de son époux à lui pourrir l’existence. Il voulait marquer ses distances avec elle, mais pas si cela signifiait lui donner l’avantage. Quoi qu’il fasse, il avait l’impression que rien ne semblait déstabiliser la jeune sorcière.

Asphodel était fidèle à elle-même, imperturbable même dans ces moments où rien n’était joué d’avance, où son propre sort se jouait entre les mains d’un autre. Son discours contrastait avec ses actes. La sensualité qui émanait de chacun de ses gestes était balayée par la provocation qu’elle mettait dans chaque parole. Hades sentit son emprise faiblir sur la gorge d’Asphodel quand les doigts de son épouse se mirent à parcourir lascivement chaque parcelle de son torse. Sa domination n’était qu’illusoire, au final, elle était bien celle qui contrôlait les choses, même si l’espace d’un instant, rien ne lui était acquit. Elle trouvait toujours la parade, la façon de retourner la situation à son avantage. Quoi qu’il tente, quoi qu’il fasse, Hades avait toujours une longueur de retard, elle semblait déjouer toutes ses tentatives avec une facilité déconcertante. L’agacement qui rongeait son époux était à la hauteur du savoir-faire de son épouse. Ca n’avait rien d’étonnant : pour arriver là où elle en était, il lui avait fallu faire preuve de ruse et de sang-froid. Hades n’était qu’un amateur là où l’empoisonneuse avait déjà fait ses preuves depuis longtemps. Qu’est-ce que tu attends ? Hein ? Mais tu ne le ferras pas, n’est-ce pas ? Hm. Non, bien sûr que non, sinon ce serait déjà fait depuis bien longtemps. Elle marquait un point. S’il avait voulu se débarrasser d’Asphodel, il n’aurait pas attendu si longtemps. Elle le savait, jouait de cette sécurité que l’attentisme de son mari lui avait offerte. Elle savait que la faire disparaitre de la carte ne résoudrait rien. Qu’annoncer son statut publiquement serait une honte pour les Nott. Que la garder serait à jamais souiller le sang d’une lignée qui tenait à sa pureté. Quoi qu’il fasse, Nott perdait, et Asphodel obtenait la mort ou la victoire. Dans les deux cas, rien ne semblait satisfaire pleinement Hades. Le plus simple était de la garder à ses côtés, en dépit du mensonge et du reste, la conserver pour femme et raviver pour elle l’attirance qui avait commencé à se consolider. Elle exerçait sur lui une fascination qu’il méprisait depuis qu’il connaissait la vérité, mais qui l’avait auparavant intrigué. Se pouvait-il qu’il cède, qu’il accorde à la passion plus de place qu’à son honneur ? Il ne parvenait pas à se décider. Son orgueil était encore trop meurtri pour qu’il ne jette les armes aussi facilement. Pourtant, lorsqu’Asphodel tourna son visage pour être tout près du sien, ses lèvres effleurant les siennes, le désir de s’en saisir n’avait jamais été aussi fort. L’une des jambes d’Asphodel vint se glisser contre lui, brouillant les idées du jeune homme, perdu dans un flot d’émotions contradictoires. La tentatrice méritait plus que jamais ce nom. Au diable la bienséance, y avait-il tant de mal à savourer une nuit dans les bras d’Asphodel ? Son sort n’allait guère être bien différent demain, alors pourquoi ne pas prendre du plaisir en attendant de trouver la solution à tous ses maux ? Hades était sur le point de flancher, sa main libre commençant déjà à s’aventurer sous le tissu qui recouvrait à peine le haut des cuisses de sa femme. Elle avait gagné au moins pour cette nuit. Jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche, et ne laisse échapper des paroles qui ramènent Hades à la raison. Mais dis-moi, chéri, qu’est ce qui te fait le plus mal, que je t’ai mentis ou que tu te sois laissé dupé aussi facilement ? Hades se redressa, s’éloignant de ces lèvres pulpeuses, lâchant cette gorge qu’il maintenait encore d’une main, délaissant de l’autre la jambe collée contre lui. Il marquait de nouveau ses distances, s’en voulant déjà d’avoir été si facile à manipuler, assis sur le rebord du lit, la regardant avec un mépris nouveau. Elle avait presque réussi à l’avoir pour elle ce soir. Mais Asphodel restait Asphodel, et sa fougue en avait trop fait. « Pourquoi de toutes les familles à mettre à terre a-t-il fallu que tu choisisses la mienne ? Si tu pars de toi-même, si tu laisses les miens tranquilles, je te donnerais suffisamment d’argent pour que tu ne manques jamais de rien. » Après les menaces, les négociations. Mieux valait tout tenter que de nourrir des regrets.
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