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 Dark days ft Alice

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Frank Longbottom


Frank Longbottom

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MessageSujet: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMar 5 Mar - 16:36



    Se réveillé, un bon matin, sentir une présence à nos côtés qui nous a toujours rendu heureux. Il n'y a rien de mieux, surtout quand l'on sait que dehors, il se passe des choses auquel personne ne s'y attend. Parfois, l'on se demande si la vie ne tient qu'à un seul et simple petit fil transparent, que chaque personne que l'on croise à l'extérieur peut le couper et nous enlever ce bien que nos parents nous on offert dès la naissance. Ouvrir les yeux et apercevoir non loin de moi, cette femme qui dort paisiblement après une nuit à cauchemarder comme chaque nuit depuis l'attaque des acolytes de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Il est vrai que je m'inquiétais beaucoup en ce moment, en fait, je m'inquiète sans arrêt pour elle. Je ne pourrais pas dire qu'elle fasse ce qu'elle souhaite, ce qu'elle désire car je sais qu'elle désire plus que tout se battre avec les membres de L'Ordre du Phénix. Mais il y a tellement de danger, à chaque moment, chaque jours, je sais que je risque de la perdre. Surtout si Bellatrix Lestrange la retrouve. Je sais qu'ils sont à nos trousses chaque secondes qui s'écoulent. Il est vrai que j'ai peur, mais je n'ai pas envie d'en parler avec elle, juste parce que je sais ce qu'elle me dirait. La seule personne en qui je pourrais exploité mes peurs serait avec Benjy, mais je sais quand ce moment, il est très prit, avec L'Ordre. Je ne veux pas en parler avec la meilleure amie d'Alice car elle dirait certainement que je ne suis pas capable de la défendre alors que je sais très bien que j'en suis capable. La dernière fois, j'avais faillis la perdre, je ne me laisserais pas surprendre une deuxième fois. Du moins, je l'espère. Je ne sais pas pourquoi, j'aimerais découvrir ce qui se passe à l'extérieur, sans doute pour protéger les membres de L'Ordre, les plus jeunes, mes proches et les proches des autres. Mais je ne peux pas protéger tout le monde. La dernière fois, une famille complète de moldu fut assassiner quand Alice et moi étions sur place. Je m'en suis toujours voulu, je ne souhaitais pas voir cette famille finir comme ça. Des enfants. Voir des enfants souffrirent pendant que ses sorciers de mages noir souriait de joie et de succès. J'avais l'impréssion que plus ils tuaient, plus leurs vies avaient un sens. Ils détruisaient tout, tout ce qui passait à travers champs, chaque personnes, de n'importe qu'elles espèces. Enfant, femmes, hommes, personnes âgées. Tous y passaient. Soudain, le hiboux apporta la gazette du sorcier en tapant contre la fenêtre de la chambre. Saleté d'hiboux ! Il n'avait toujours pas comprit de ne pas faire de bruit à une heure aussi tôt. Je me redressa alors, de toute façon, je ne pouvais pas rester au lit plus longtemps, je ne tenais jamais en place, je ne pouvais pas rester aussi longtemps que Benjy qui devait certainement faire la grâce matinée, ou bien Alice qui rattrapait sa nuit. Je déposa alors un baiser comme chaque matin sur les cheveux de la brune et sortit du lit afin de descendre à l'étage du dessous.

    Comme je l'avais espéré, le hiboux était présent à sa branche d'arbre qui était juste devant la fenêtre qui s'ouvrait en direction du petit jardin derrière la maison. Nous avions une belle petite maison, fort heureusement ma mère ne venait pratiquement jamais, ou alors elle aurait sans doute fait des remarques sur l'aménagement de celle-ci. J’ouvris la fenêtre et prit alors la gazette du sorcier que le hiboux me tenda et comme chaque matin, je lui caressa la tête tout en lui disant : « Merci Harold, fait attention, on sait jamais. » Oui je lui parlais mais comme tout animal de compagnie, il avait besoin de savoir qu'il n'était pas qu'un simple animal, parfois, un animal peut-être également un meilleur ami, un confident mais bon, j'avais Benjy pour ça. Je me mis alors à sortir une tasse afin de faire versé du café dedans à l'aide ma baguette. Une fois la tasse remplie, je me mis à ma chaise afin de lire la gazette. Je voulais avoir des informations, des indices, quelques choses de suspects afin d'avertir les autres. A part les naissances, les résultats de Quidditch, la météo, il n'y avait rien aujourd'hui. Peut-être à la page des décès qui sait ? Mais si c'était quelqu'un d'assez important ou membre de l'Ordre, cela aurait fait la une de la première page. Mais il n'y avait rien, pas de signal, pas d'indice, rien. Tous était mort de vieillesse. C'était bien calme en ce moment, je n'aimais pas vraiment sa. Cela sentait pas bon. C'était trop calme pour se dire, qu'on était tranquille. Soudain, j'entendis des bruits de pas descendre des escaliers. Je replia mon journal et le posa sur la table et dit alors en regardant ma fiancée descendre les marches : « Il n'y a rien encore aujourd'hui. Pas d'indice, pas de mort suspecte, pas de victime. »C'était comme pour la rassurer mais moi-même je ne l'étais pas. J'avais fais une promesse à sa meilleure amie, il fallait que je la tienne.


Dernière édition par Frank Longbottom le Mar 5 Mar - 19:58, édité 1 fois
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Alice Fortescue

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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMar 5 Mar - 18:03

Alice était profondément endormie. Le matin, les rayons du soleil ne la réveillaient jamais – enfin pas très souvent. La nuit, elle avait le sommeil léger, et se réveillait très fréquemment, mais sur le matin, elle dormait à poings fermés. La nuit, elle faisait des cauchemars généralement, elle dormait très mal, elle se réveillait et luttait parfois pour ne pas s’endormir. Quand elle dormait, c’était toujours la même chose, il y avait forcément un moment où elle se mettait à gesticuler, et parfois même à hurler, et c’était Frank qui la réveillait, et elle se blottissait dans ses bras pour finir par s’endormir parfois des heures plus tard, alors le matin… c’était sacré, elle dormait, c’était sa meilleure partie de la nuit. Ce matin là elle dormait paisiblement n’ayant pas fait de cauchemars mais ayant veillé un moment assise dans le lit à livre un livre pour passer le temps, c’était soit elle passait une très mauvaise nuit, soit elle ne dormait pas du tout. L’agression dont elle avait été victime avait laissé quelques traces chez la sorcière qui n’en dormait plus, parfois il lui arrivait de faire des crises de panique mais celles-ci semblaient progressivement s’estomper. Elle grogna un peu quand elle entendit alors du bruit – oui Alice le matin n’aime pas être réveillée, pas du tout. Était-ce Frank qui faisait du bruit. La sorcière n’ouvrit pas les yeux et se tourna légèrement, comme si elle n’avait rien entendu, essayant de se rendormir le plus vite possible. Elle fut « réveillée » par un baiser ses cheveux, elle était à peine endormie et esquissa un petit sourire, mais ne bougea pas d’avantage, encore bien fatiguée. Alice avait un furieux besoin de dormir, si seulement elle faisait des nuits complètes. Parfois le matin, elle se réveillait avec quelques cernes. La jeune femme au réveil, c’est tout un rituel, elle est métamorphomage, et dort avec des cheveux cours, pour ne pas qu’ils soient emmêlé le matin, et la longueur de cheveux s’ajuste en fonction de ses besoins mais aussi en fonction de son humeur le matin, mais au niveau de la couleur, elle reste sombre : brun sa couleur naturelle. Elle senti alors que Frank laissait le lit, elle resta endormie un moment, mais… trop tard, elle avait été réveillée. Elle se retourna alors, sur le dos dans le lit vide, incapable de refermer l’œil, elle regarda le réveil juste à côté, il était si tôt. Elle poussa un soupire, et sorti alors du lit. Si il y avait une chose qu’elle détestait le matin c’était cette sensation de froid quand on sort du lit.

Elle enfila alors ses pantoufle, et attrapa son peignoir en soie et se glissa dedans, elle était une grande frileuse mais refusait parfois de l’admettre. Elle quitta alors la chambre en passant une main dans ses cheveux cours. Les cheveux courts c’était une coupe de cheveux qu’elle avait choisi en sortant de Poudlard, avant elle avait l’habitude de laisser de longs cheveux bruns bouclés – parfois cela lui arrivait encore de laisser ses longs cheveux, elle aimait beaucoup, mais pas pour travailler. Elle descendit alors les escaliers et arriva dans la cuisine. Ils avaient une belle petite maison, cela changeait Alice elle ne supportait plus de vivre avec Augusta Longbottom, c’était au dessus de ses forces et mettait à rude épreuves sa patience. Frank était assis à la table avec une tasse de café et la gazette du sorcier quand il lui dit alors :
« Il n'y a rien encore aujourd'hui. Pas d'indice, pas de mort suspecte, pas de victime. » Un détail de plus qui rappelait à Alice que le monde des sorciers étaient en guerre. La sorcière arrive en bas, et passa près de lui avant de se pencher vers lui, et déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Elle le laissa ensuite pour aller se servir une tasse de thé. Elle répondit alors : « Ils préparent forcément quelques choses, c’est obligé. » Elle était membre de l’Ordre du Phénix, elle savait que cela causait beaucoup d’inquiétude pour ses proches, et également pour son père, celui-ci était un peu perdu depuis qu’elle ne vivait plus avec lui, elle avait du lui apprendre à faire les lessives. Il trouvait toujours une excuse pour lui demander de passer à la boutique, et il jouait sur le fait qu’elle ne travaillait pas bien loin. La sorcière sorti du placard une grande tasse, et versa de l’eau dedans qui à l’aide de sa baguette devint de l’eau chaude. Elle glissa alors le sachet de thé à l’intérieur et vint s’asseoir en face de Frank posant ses mains sur la tasse pour se réchauffer. Elle dit alors en regardant Frank : « Je verrais ce que je peux faire, voir si j’entends quelques choses de suspect au travail, on a une réunion de l’Ordre bientôt. » Alice esquissa un sourire. Elle se mit alors à souffler sur sa tasse brulante, elle savait que parler de l’Ordre avec Frank c’était un bon moyen de se disputer, il risquait encore de tout remettre en question.


Dernière édition par Alice Eana Fortescue le Mar 5 Mar - 20:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMar 5 Mar - 19:59

    Je n'aimais pas l'idée qu'Alice puisse se battre à nos côtés. Bien sur nous n'étions plus les enfants d'autre fois mais nous avions toujours en nous, cette part de courage qui prenait sur nous à chaque bataille que l'on faisait face à l'ennemi. L'ennemi qui se faisait discret, discret mais à la fois sombre. Plus personne n'avait de signe, rien dans le journal, rien qui arrivait aux oreilles des membres de l'Ordre. Mais je savais qu'il fallait prévoir quelques choses qui serait efficace face à l'ennemi. L'ennemi se faisait rare en ce moment mais les jours sombres avait déjà bel et bien commencer depuis longtemps. Je me souviens encore du jour, où j'ai perdu un ami, un collègue, un membre de l'Ordre, nous étions avec Alice, celui fut tué en premier pour finir par la famille moldu, puis par nous faire souffrirent. Malheureusement, à en croire aujourd'hui, Alice fut bien plus toucher que moi. Je me souviens encore de se visage crispé qu'elle avait eu. Un visage de souffre douleur. Un visage qui souffrait le martyr. Je n'ai jamais pu oublié ce jour-ci, jamais. J'ai laissé une famille de moldu se faire tué, j'ai laissé un ami se faire tué, j'ai laissé la femme que j'aime se faire souffrir. Évidemment, que je ne pouvais rien faire, j'ai essayé, mais rien. Les gens pourrait toucher à tout, à ma mère s'ils le veulent mais ils ne seront jamais que mon point faible reste mes proches dont Alice. J'avais perdu mon père il y a dix ans de cela, je n'avais pas envie de perdre Alice à son tour, ni même Benjamin, ni même chacun des membres avec qui, nous élaborions tardivement des plans afin de ne pas se faire avoir. Évidemment, ses heures tardives était en plus de ma formation d'auror. Fort heureusement, j'étais en fin de formation. Mais cela me laissais sans arrêt au travail, pas de temps pour moi, il fallait que je sois prêt à affronter tout danger qui puisse nuire au monde de la magie. Je ne voulais pas perdre quelqu'un d'autre, d'ailleurs, je crois que s'était le désir de tous jusqu'au jour, où, l'on perd quelqu'un de proche et qu'il ne faut pas laisser s'abattre sur son propre sort. Après avoir entendu des bruits de pas, j'avais abaissé la gazette du sorcier. J'y étais abonné, en tant que membre de l'Ordre du Phénix, il fallait bien être au courant et de pouvoir être capable de chercher la faille quelconque. Je vis alors descendre Alice. Il était pourtant tôt, à la norme, elle dormait jusqu'à très tard. Elle était dans son peignoir avec ses pantoufles. Évidemment, je lui avais part directement des nouvelles du jour, c'est à dire rien. Je ne voulais pas l'inquiété plus qu'elle ne l'était déjà chaque jours. Je savais bien que depuis son agression, elle était encore plus inquiète pour ses proches et pour son père. Bien que j’aperçus son visage fatiguée, du au manque de sommeil, elle restait radieuse comme femme.

    Elle s'était approcher afin de se préparé un thé mais avant cela, elle s'était penchée afin de déposer un baiser. Il était bon dès le matin de sentir ses lèvres, c'était quelque chose d'assez réconfortant. Surtout par les temps qui courent. « Ils préparent forcément quelques choses, c’est obligé. » Si elle savait lire dans mes pensées, elle aurait vue que je pensais la même chose qu'elle. Seulement, si l'on voulait faire des preuves de quoi que ce soit, on aurait rien. Je ne savais pas pourquoi ses mages noirs était dans un silence les plus complets mais un jour où l'autre, nous le serions. « J'ai pensé la même chose ce matin. Mais il n'y a vraiment aucun indice, aucun corps retrouver avec une marque des ténèbres, rien. A part des morts du à la vieillesse. » Je ne voulais pas l'inquiété et je ne voulais pas montrer que j'étais anxieux mais ça, elle devait certainement le savoir. Je pris le temps de boire une gorgée de café, il fallait en profiter le temps qu'il soit encore chaud. Le café froid, c'était vraiment quelque chose qui me répugnais. Cela me rappelait encore au café que me faisait ma mère, il était sans arrêt froid quand elle le versait. Aller savoir pourquoi. Elle s'installa alors face à moi après avoir mit à l'intérieur de sa tasse, le sachet de thé à sa saveur. Soudain, son regard croisa le mien. Je senti que quelque chose allait sortir de sa bouche, quelque chose qui n'allait pas me plaire. « Je verrais ce que je peux faire, voir si j’entends quelques choses de suspect au travail, on a une réunion de l’Ordre bientôt. » Je cru que j'allais recraché la gorgée de café que j'avais dans la bouche quand elle me sortit ce phrase. Une réunion de l'Ordre ? Le message n'était donc pas encore passé. Par Merlin ! Cela avait causé bien des disputes concernant ce sujet. Elle savait très bien que je ne voulais pas qu'elle se batte à leurs côtés. Je ne voulais pas qu'elle prenne de risque. Je savais très bien que les Lestrange et Black était à notre chasse depuis bien des mois. « Tu n'auras rien du tout toi. Emmeline doit passer justement non ? Ou tu devrais prendre le temps d'aller voir ton père, au cas où il aurait besoin d'aide. » En gros, c'était pour lui dire que je n'étais pas d'accord qu'elle s'acharne encore sur cette histoire. Je la savais courageuse mais je l'avais vu souffrir devant mes propres yeux, je l'entendais et la voyais faire ses cauchemars. Alors se battre à nouveau. Dans ses rêves.
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMar 5 Mar - 21:27

Alice était une jeune femme assez forte de caractère, mais… aussi foncièrement gentille. Elle était engagée dans cette guerre par conviction elle n’en faisait pas partir par « pur vengeance », non, elle n’avait pas perdu d’êtres chers dans cette guerre – pas encore et elle espérait bien ne pas en perdre – elle était juste une fervente défenseuse de la vérité, de la justice, et de l’égalité. Elle avait essayé de devenir auror, mais avait abandonné car elle se mettait trop de pression au cours de ses études, ne parvenant même plus à dormir, travaillant et s’endormant sur ses cours quand elle arrivait à dormir, alors elle avait finit par travailler dans la boutique de son père, mais vendre des glaces ne lui avait rien apporté dans sa vie… à part Frank, c’était une histoire de glaces en fin de compte à la base. Sans ce job, elle ne l’aurait peut être jamais rencontré, sans ce job elle aurait loupé l’une des plus belles rencontres de sa vie, et ça aurait été bien dommage, car aujourd’hui, elle se voyait mal vivre sans Frank, elle était si bien avec lui. Elle était heureuse de l’avoir chaque matin à ses côtés, très heureuse. « J'ai pensé la même chose ce matin. Mais il n'y a vraiment aucun indice, aucun corps retrouver avec une marque des ténèbres, rien. A part des morts du à la vieillesse. » Frank était auror, et également membre de l’Ordre du Phénix, en quelque sorte c’était un vrai sorcier préparer à se battre, Alice était membre de l’Ordre mais avec moins de formation, néanmoins, elle savait se battre et savait se servir d’une baguette de façon plutôt réussi, il suffisait juste qu’elle croit en elle. Mais il avait raison de penser que cette histoire était bizarre, ce n’était pas leur genre de… ne rien faire. Avec ces cinglés en liberté, Bellatrix Lestrange devait bientôt en être à une victime par jour, il y avait forcément eut des morts cette nuit, ou même des gens disparus, c’était forcé, s’il y avait eut des morts, Alice était convaincu que nous le saurions bientôt, elle se méfiait toutefois de la gazette, elle se méfiait de beaucoup de chose : était-elle toujours indépendante ? Alice se posait parfois la question car… tout le monde pouvait être sujet à chantage dans cette guerre, même le rédacteur en chef de la gazette du sorcier. Alice ne répondit rien et haussa simplement les épaules, que pouvait-elle bien lui répondre ? Rien, en réponse, elle s’assit alors en face de lui avec sa tasse de thé. Frank et Alice n’avaient pas forcément les mêmes goûts au petit déjeuné, lui était plus fervent défenseur du café tandis qu’elle préférait le thé, Alice aimait le thé autant que les glaces – et dire cela quand on est fille de glacier ce n’est pas une mince affaire ! Elle avait parlé sans vraiment réfléchir et avec son cœur. Oui, elle était sincère, quand elle parlait de l’ordre c’était quelque chose qui lui tenait réellement à cœur. Elle se doutait que sa franchise allait sans doute faire réagir Frank, comme toujours. Elle baissa alors les yeux sur sa tasse, soufflant dessus quand Frank dit alors : « Tu n'auras rien du tout toi. Emmeline doit passer justement non ? Ou tu devrais prendre le temps d'aller voir ton père, au cas où il aurait besoin d'aide. » On y était, le désaccord. Frank voulait toujours la protéger, et c’était comme ça, elle ne pouvait pas lui en vouloir, mais elle avait passé l’âge que l’on décide pour elle, Alice avait vingt cinq ans elle était maitre de ses choix, elle était maitre de son âme, de son destin, c’était à elle de choisir pas aux autres de choisir pour elle. Elle releva alors les yeux vers Frank et cligna plusieurs fois en laissant planer un silence. Puis, elle dit alors : « Pardon ? » Elle dit simplement ce mot avant de le fixer, elle avait ses mains agripper à sa tasse, mais cela la brûlait, mais elle s’en fichait, elle était en pleine conversation, et visiblement ça e pouvait pas attendre. « Est-ce que j’ai besoin de ta… permission ? » Elle le fixait en haussant un sourcil – Alice qui hausse un sourcil n’annonce rien de bon, cela signifie qu’elle est agacée. Elle n’avait pas besoin qu’on lui dise quoi faire, elle savait ce qu’elle voulait faire dans sa vie, elle n’avait pas besoin qu’on lui, elle avait beau l’aimer de tous son cœur, il n’avait pas ce droit sur elle, non. « Emmeline passera un autre jour, et… mon père n’a pas besoin de moi, il a embauché un autre serveur. » dit Alice agacé, après avoir pris une petite cuillère pour tourner son thé, elle était si agacée qu’elle tournait, tournait et tournait avant de lâcher sa petite cuillère dans sa tasse. « Je ne suis pas une enfant Frank ! Tu n’as pas besoin de faire comme si j’en étais une ! Arrête de m’éloigner de tous ça ! » Alice le fixa alors, avant de porter la tasse de thé brulante à ses lèvres.
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMer 6 Mar - 11:51

    Il y a avait une part de danger partout où nous décidions d'aller. Sortir parfois, donnait l'impression d'être suivit, d'être expié comme de véritable bêtes sauvages. Il y avait un danger partout où l'on allait. D'ailleurs, je faisais toujours attention à mes pas et encore plus depuis que je m'étais retrouvé nez à nez avec les Lestrange. Je faisais également encore plus attention à mes proches, je ne voulais pas que leurs destins soit brisés. On avait tous quelque chose de bon à effectuer dans ce monde. Dans tout ça, je souhaitais à tout le monde de ne pas se faire avoir, de ne pas recevoir le sortilège d'endoloris. C'était un sortilège qui rendait dingue par la souffrance et quand on entend le rire de Bellatrix Lestrange, cela rend encore plus dingue. Elle avait un rire sadique, un rire qui prenait aux oreilles, on avait l'impression que celui-ci durait des heures et des heures. Avec l'endoloris, c'était encore pire. Les yeux d'Alice se mirent alors à se relever. Elle avait parler d'un sujet fatidique, un sujet qui avait causé bien des engueulades et des prises de tête. Je la savais au maximum pour l'Ordre du Phénix, je savais très bien qu'elle était une excellente sorcière mais il y avait tellement de danger à l'extérieur qui nous attendait tous, que je ne savais plus où donner de la tête. Je ne doutais pas en ses capacités car je savais très bien qu'elle en possédait mais était-ce vraiment raisonnable de vouloir se battre aux côtés de l'Ordre quand on sait que Bellatrix Lestrange cherche à lui faire la peau ? Dans la pièce il y avait un silence depuis que j'avais parler. Cela voulait dire que c'était mauvais signe. C'était un sujet qui fâchait et nous le savions très bien. Il n'y avait rien de méchant dans le fait que je refuse qu'elle se batte aux côtés des membres de l'Ordre, bien que son aide était apprécier par tous. Je la protégeais juste comme bon me semblait normal. Il est vrai que lors d'une bataille entre sorciers et mages noir, on était inquiet quand on voyait notre binôme entrain de se battre. D'ailleurs, la dernière fois, cela avait mal fini pour elle et ça devant mes yeux alors depuis, je refusais. « Pardon ? » Et voilà, nous y étions, cela recommençais de plus bel. Le sujet était toujours vainqueur dans ses moments. Elle ne lâchait plus sa tasse de ses mains. Tandis que moi, je buvais à nouveau une gorgée de café. « Est-ce que j’ai besoin de ta… permission ? » C'était bizarre comme à chaque fois, la sensation de contrariété passait par un regard échanger. Le sourcil d'Alice se mit alors à hausser. Cela signifiait rien de bon. A chaque fois elle le faisait. Nous nous fixions encore et encore, un peu comme les enfants font pour jouer au jeu du regard. Le premier qui baisse le regard, il a perdu. Sauf que cette fois-ci, ce n'était pas un jeu. Je savais très bien qu'elle n'aimait pas qu'on lui donne des ordres.

    « Disons que cette fois-ci, tu n'as pas réellement le choix. » Bien que j'étais fier qu'elle fasse partie de l'ordre, je l'étais moins lors de duel qu'elle faisait. Il était tellement facile de désarmé son adversaire que je ne savais pas ce qu'elle fairait sans sa baguette. Même moi sans ma baguette, je ne sais pas vraiment ce que je ferais, du corps à corps, ce qui est normal mais face à quelqu'un qui détient encore sa baguette, je n'avais aucune chance, surtout fasse à un mage noir. Alors Alice. C'était un duel perdu d'avance. « Emmeline passera un autre jour, et… mon père n’a pas besoin de moi, il a embauché un autre serveur. » Emmeline était sa meilleure amie, c'était un peu beaucoup une folle dingue. Du moins, elle l'avait toujours été, même quand nous étions encore des étudiants à Poudlard. « Il a toujours besoin de toi, ça lui ferait plaisir à mon avis que tu passes le voir. » Évidemment j'essayais de l'éloigner de l'Ordre même si cela restait une tâche bien difficile. Normalement, j'avais l'aide de sa meilleure amie, mais j'avais l'impression que cette lourde tâche m'étais destiné. Je la regarda alors prendre une cuillère et la mettre dans ta tasse, tandis que moi, je finissais mon café. Elle tournait sa cuillère dans ce liquide une première fois, une deuxième fois puis une troisième fois jusqu'à ne plus en finir. Ce bruit avait le don de me stressé mais elle devait certainement être entrain de se venger sur sa cuillère. Elle lâcha enfin sa cuillère et dit alors : « Je ne suis pas une enfant Frank ! Tu n’as pas besoin de faire comme si j’en étais une ! Arrête de m’éloigner de tous ça ! » Et voilà, la phrase qui sortait à chaque fois que cette situation arrivait. Je commençais à la connaître par cœur cette phrase par Merlin. Pendant un instant, Alice me fixa avant de porter sa tasse à ses lèvres. Je reposa alors la tasse de café à présent vide sur la table. « Je n'ai pas dis que tu étais une enfant ! C'est mon devoir de te défendre ! De te protéger ! Et si il faut que je t'éloigne de tout ça pour que tu sois saine et sauve je le ferais ! » Le ton de ma voix avait monter. S'énerver dès le matin, signifiait que la journée serait mauvaise. Mais cela voulait dire également que je serais de mauvais humeur pour le restant de la journée. Je me mis alors à la fixer afin de dire sèchement : « Tu n'as pas le choix de toute façon. » C'était clair, c'était net, je ne la laisserais pas mettre sa vie en danger à nouveau. Je savais bien que c'était anormal qu'il n'y ai aucun meurtre ce soir. Alors soit ils pistaient quelque chose ou quelqu'un, soit ils avaient prit ce soir, le pouvoir sur la gazette du sorcier. C'est en me levant enfin de ma chaise en prenant ma tasse que je dis alors : « Je n'ai pas envie qu'il t'arrive le même sort que la dernière fois, ça ne ta dont pas servie de leçon ? » Je savais très bien que l'agression qu'elle avait eu, avait laisser des marques chez elle. Je sortis ma baguette et fit un geste du poignet, ce qui fit lever l'éponge afin de laver la tasse sale.
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMer 6 Mar - 18:09

S’énerver de bon matin, c’est le meilleur moyen pour commencer une journée de très mauvais pied. Alice était une jeune femme qui travaillait en tant que serveuse au chaudron baveur, elle se devait d’avoir un sourire de rigueur au moment de travailler, mais quand on commence par se prendre la tête de bon matin, cela devenait assez difficile. Cette guerre ne faisait pas que des victimes au sens strict du terme, elle pouvait aussi donner du fil à retordre aux couples, et c’était – sans qu’elle veuille l’admettre – le cas avec Frank et Elle, depuis que ça avait commencé, ils se prenaient souvent la tête, c’était comme ça. Alice avait beau être une gentille fille, elle avait son petit caractère, et gardait dans les moments d’énervement des vestiges de son enfance parfois capricieuse, et surtout entêté. Elle avait toujours été entêté, et cela ne changerait pas de sitôt, quand elle voulait quelque chose, elle ne lâchait pas avant un bon moment, alors que Frank ne compte pas sur elle pour lâcher l’Ordre du Phénix de sitôt, elle tenait trop à aider les autres, et à mettre fin à cette guerre. Si tout le monde… abandonnait de peur de mourir, ou d’être blessé, alors qui resterait-il pour combattre ? Personne. Son père n’avait pas appartenu à la maison gryffindor ; il avait été à poufsouffle, et il disait à propos de cette guerre : « Laissons les autres mourir, c’est plus sage. » Cette phrase avait marqué la sorcière, mais elle ne lui en voulait pas, son père était tout sauf un combattant, c’était un fabriquant de glaces. Elle l’écoutait à moitié quand il dit alors : « Disons que cette fois-ci, tu n'as pas réellement le choix. » La sorcière porta la tasse a ses lèvres, et esquissa un rire – nerveux et profondément ironique – quand il dit ses mots. Par Merlin, il croyait vraiment à ce qu’il disait ? Elle croyait qu’il était… non, en fait il avait l’air très très sérieux, mais, Alice n’était pas d’accord avec « ça », elle avait le choix, c’était ses choix, elle les avait toujours fait aussi loin qu’elle s’en souvienne et ce n’était pas parce qu’elle était avec lui depuis cinq ans qu’il allait ch angé quelque chose sur ses habitudes de prendre des décisions. Elle était d’accord sur le fait qu’ils avaient des décisions à prendre ensemble, mais elle avait encore le droit de choisir de se battre, ou pas. « Il a toujours besoin de toi, ça lui ferait plaisir à mon avis que tu passes le voir. » Il poussait Alice à s’éloigner de l’Ordre, mais elle avait ses amis dans l’Ordre – sauf Emmeline – mais il n’avait pas le droit de l’en éloigner juste parce qu’il avait peur, non, il n’avait pas le droit. Et son père… il faisait mine d’avoir besoin d’elle, et de l’occuper en lui demandant un tas de chose quand elle passait le voir comme si au maximum où il la retenait avec lui, elle se mettait moins en danger. Elle haussa un souricl avant de répondre : « Et bien, j’irais après la réunion. » Vous avez dit têtu ? Oui, elle était complètement têtue, et fière de l’être, elle savait que c’était le genre de remarque qui allait peut être énervé Frank, mais au diable, qu’il s’énerve, ça finirait peut être par le calmer. Alice calmait ses nerfs en les passant sur sa cuillère, en tournant celle-ci je ne sais combien de fois dans sa tasse de thé – comme si ça pouvait marcher. Ils se fixait, elle porta la tasse à ses lèvres et lui posa sa tasse de café avant de dire : « Je n'ai pas dis que tu étais une enfant ! C'est mon devoir de te défendre ! De te protéger ! Et si il faut que je t'éloigne de tout ça pour que tu sois saine et sauve je le ferais ! »Le ton monta d’un cran, et quand elle avait la tasse à ses lèvres, Alice serra son emprise sur celle-ci, si elle avait eut une force herculéenne, celle-ci se serait sans doute brisé en milles morceaux. Il disait qu’il ne la traitait pas comme un enfant, pourtant c’était exactement ce qu’il était entrain de faire, il voulait la protéger, tout le temps – c’était adorable, mais c’était à elle de faire ses propres choix. Mais visiblement non : « Tu n'as pas le choix de toute façon. » Sec, et de mieux en mieux. Alice le fixa alors, interdite tandis qu’il se levait pour prendre sa tasse avant d’en rajouter une couche, comme si cela ne suffisait pas : « Je n'ai pas envie qu'il t'arrive le même sort que la dernière fois, ça ne ta dont pas servie de leçon ? » Le nœud du problème : leur agression. Ils auraient pu mourir, mais ils avaient survécu, et… c’était bien comme ça pas de victoire sans sacrifice, il fallait souffrir pour gagner, c’était le prix de la liberté, il faut savoir en payer le prix car rien n’est jamais gratuit. Elle restait muette, cherchant ce qu’elle allait pouvoir lui répondre, mais risquait de ne pas rester calme, il n’était pas le seul à savoir haussé le ton. Elle le regarda faire la vaisselle avec sa baguette, elle roula des yeux, avant de boire une gorgée et de poser sa tasse – un peu bruyamment – sur la table. « Tu dis que tu je ne suis pas une enfant, alors laisse moi prendre mes propres décisions ! » Elle avait naturellement haussé le ton insistant sur le « mes propre décisions », elle avait haussé le ton d’un cran. Alice avait son côté gryffindor qui sortait parfois, il y avait un petit morceau de lionne en elle, prête à sortir les griffes. « Je fais mes propres choix ! J’ai toujours fait mes propres choix ! » Elle bu alors en cul sec sa tasse de thé, et la reposa tout aussi bruyamment sur la table, faisant tinter la cuillère par la même occasion. Elle poussa un soupire, et se leva alors pour saisir sa tasse, avant de se tourner vers Frank. « Une leçon ? Oui, j’ai été blessée, tu crois que c’est une bonne raison pour… abandonner ? Et toi aussi tu as été blessé, est ce que j'essaie de te dissuader de te battre ? Non, parce que je sais que je n'y arriverais pas !» Elle le fixait, Alice avait un regard à mi-chemin entre le regard de chien battu, et un regard noir, c’était comme ça quand elle était énervée. « Abandonné, c’est leur dire qu’ils ont gagné, et je ne les laisserais pas gagner ! Jamais ! » Elle le fixa, et posa alors sa tasse dans l’évier, juste à côté de celle de Frank, et lâcha alors en le fixant assez froidement : « Puisque je suis une enfant, fais la vaisselle pour une fois. » Elle le toisa presque, sur les nerfs, et tourna les talons. Elle sorti de la cuisine, bien déterminé à aller prendre une douche, elle en avait assez de cette conversation.
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMer 6 Mar - 21:31

    Ce qui pouvais me mettre de mauvais poil dès le matin, c'était bien évidemment, une engueulade avec Alice. Surtout après avoir bu mon café assez rapidement. Je n'aimais pas déjeuner rapidement, j'avais l'impression de mal digéré ensuite. J'aimais bien prendre mon temps le matin, en sachant que je travaillerais toute la journée, que je finirais assez tardivement et qu'ensuite, je devrais aller rejoindre l'Ordre pour avoir du nouveau pour enfin rentrer à la maison et retrouver Alice. C'était un quotidien à la fois passionnant que fatiguant car les journées se faisait longues alors quand j'avais un peu de temps libre, j'en profitais pour lire la gazette du sorcier afin de m'informer. Il est vrai quand ce moment, il était peu probable de faire confiance à la gazette, c'était comme les mages noir le possédait et mettait seulement les informations qu'ils souhaitais. Évidemment, ce n'était que mes pensées. Les autres, je ne sais pas vraiment ce qu'ils pensaient ce matin. Mais nous étions tous basé sur la confiance et ce matin sur le doute. « Et bien, j’irais après la réunion. » Je savais très bien que quand elle était décider à ne pas faire quelque chose, elle ne le ferait pas. J'avais beau essayé, elle ne céderait pas. C'était un peu comme un combat déjà perdu à l'avance. Mais je n'étais pas décidé également à me laisser faire. Je ne voulais pas qu'elle aille à cette réunion, alors elle n'irait pas. « Il se fera tard après tu sais. Il sera sans doute fatiguer alors., avant ça serait mieux, si possible. » Évidemment quand disant 'si possible' j'en rajoutais une couche mais je ne voulais pas qu'elle soit présente à cette réunion. En faite, ce n'était pas les réunions qui me dérangeais, c'était le combat en lui-même. Je ne souhaitais pas la voir se battre face à Bellatrix Lestrange, ou bien face à Rabastan ou encore Rodolphus. Bien que sans baguette, ils devaient certainement fuir et courir, avec leurs baguettes ils étaient tout de même sorcier avant tout. « Tu dis que tu je ne suis pas une enfant, alors laisse moi prendre mes propres décisions ! . » Évidemment en entendant ça, on avait l'impression d'être l'homme qui ne laisse jamais sa fiancée faire ce qu'elle souhaite alors que c'était faut. Parfois, je prenais les décisions qui m'étais bonne, mais parfois, j'avais tord et Alice savait bien me le faire comprendre quand il le fallait. Elle avait insister sur la fin de sa phrase. Mais elle avait également monter d'un ton. Comme je l'avais fais précédemment. Nous ne voulions pas nous laisser abattre. C'était toujours comme sa dans nos prises de tête. « Je fais mes propres choix ! J’ai toujours fait mes propres choix ! » Je savais qu'elle avait raison, elle détestait qu'on lui donne des ordres et sans ordre, elle savait très bien s'impliquer dans son travail. Il n'y avait aucun doute sur ça. Le son de sa tasse contre la table me fit perdre les mots. De toute façon, j'en eu même pas le temps qu'elle était déjà debout.

    « Une leçon ? Oui, j’ai été blessée, tu crois que c’est une bonne raison pour… abandonner ? Et toi aussi tu as été blessé, est ce que j'essaie de te dissuader de te battre ? Non, parce que je sais que je n'y arriverais pas !» Elle parlait d'abandon pour elle. Elle voyait ça de cette manière. Ce n'était pas un abandon mais plus une recommandation afin qu'elle soit toujours en lieu sur. Mais bien évidemment, il était évident que quand elle allait au travail, elle n'était plus en lieu sur, quand elle avait voir sa meilleure amie non plus, quand elle allait rendre visite à son père également. Elle était entrain de me rappeler que moi aussi j'avais été blessé, qu'il n'y avait pas qu'elle à avoir été toucher. Alice avait raison. Même si elle me le demandait, je n'arrêterais pas pour autant. C'était mon devoir de me battre, j'étais un sorcier né pour ça. Mais peut-être que finalement, elle aussi était une sorcière née pour ça ? C'était une question que je me posais à l'instant même. Je n'avais toujours pas ouvert la bouche, sans doute parce que le silence était mon meilleur ami à cet instant ou bien peut-être parce que j'étais entrain de me calmé intérieurement. « Abandonné, c’est leur dire qu’ils ont gagné, et je ne les laisserais pas gagner ! Jamais ! » Il est vrai que quand Alice était énerver, elle me faisait souvent perdre les mots de la bouche. Elle me fixait, je la fixais, c'était le duel du regard. Je ne renonçerais pas pour autant. « Je ne doute pas de toi Alice, je sais très bien que tu es une sorcière digne de ce nom, que tu es douée et que tu as le courage que tu as toujours posséder mais ils sont entrain de nous préparé quelque chose, quelque chose auquel on n'y attend pas pour le moment. La preuve encore ce matin, la gazette ne parle de rien, pas de meurtre, pas de victime, rien. » Je voulais simplement la protéger, la mettre en sécurité, elle puis ses proches. Elle avait donc poser sa tasse juste à côter de la mienne. Son regard resta inchangé et le mien devint alors plus froid que jamais. « Puisque je suis une enfant, fais la vaisselle pour une fois. » Faire la vaisselle ? Je faisais la cuisine quand j'avais le temps ou bien préparais le petit déjeuner vu que j'étais souvent levé en premier mais faire la vaisselle. Jamais ! Bon un coup de baguette et ça se ferait tout seul non ? Elle partit de la cuisine avant que je ne puisse répondre négativement à l'envie de faire la vaisselle. Si il y avait bien une chose qui m'énervait encore plus, c'était bien la fuite. Je me mis donc à l'interpeller assez froidement : « Alice Eana Fortescue revient dans la cuisine ! On a pas fini ! » Quand je l’appelais pas ses deux prénoms et à la fin par son nom de famille, cela signifiait que j’étais très énervé. Le temps de journée que j'allais faire aujourd'hui allait être dans un énervement le plus total. Si il y avait bien une personne aussi forte pour me foutre les nerfs c'était bien Alice mais elle était également celle qui pouvait me calmer. Pas facilement mais elle pouvait. Je venais de quitter la cuisine afin de la rejoindre.
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeMer 6 Mar - 22:30

Elle avait un sacré caractère, elle n’était pas capricieuse, du moins, elle ne l’était plus. Enfant unique, elle l’avait été dans son enfance, faisant parfois des caprices pour rien, et prenant parfois ses parents de haut, elle avait finit par changé avec les années, mais c’était la mort de sa mère qui l’avait complètement fait changée. Elle gardait son caractère, quand elle avait une idée en tête il fallait s’y prendre d’une certaine manière pour la faire changer d’avis, mais… personne n’a encore trouvé comment la faire changer d’avis pour l’instant – pas même Frank. Enfin, son père avait réussi à la faire changé d’avis une fois : quand elle avait arrêté ses études d’aurors. Elle travaillait jour et nuit, et il avait pointé du doigt cela en lui montrant qu’elle perdait son temps, tout en sachant qu’il risquait aussi de la perdre. C’était la seule fois où son père avait réussi à la faire changé d’avis, et depuis, personne n’a réussi, c’était il y a six ans. Elle était relativement sûre de ses opinions. « Il se fera tard après tu sais. Il sera sans doute fatiguer alors, avant ça serait mieux, si possible. » Son père commençait à prendre de l’âge, et il était le dernier Fortescue qu’il lui restait, enfin, il lui restait ses deux cousins, mais ce n’était pas comme la famille très proche. Alice n’a ni frère, ni sœur, elle était une fille unique, elle l’avait toujours été. Plusieurs fois, elle aurait aimé avoir un frère, ou une sœur. Elle se faisait beaucoup de soucis pour son père, plusieurs commerces avaient fermés leurs portes sur le chemin de Traverse, elle savait que si un jour il devait fermer boutique, elle n’était pas sûre qu’il arrive à tenir longtemps, il était passionné par son métier, il avait aimé faire ce métier avec sa mère à ses côtés, si on lui enlevait ça… elle avait peur que son père ne tienne pas. Avec la guerre, il faut s’attendre à tout. Elle lui rendait encore visite très souvent, parfois accompagné de Frank, elle savait qu’il appréciait le jeune homme, son père n’était pas quelqu’un d’antipathique, bien au contraire, c’était quelqu’un de très avenant avec les gens, et il avait bien accueilli Frank. Elle lui rendrait visite, comme toutes les semaines, et elle n’allait pas laisser Frank lui dire quand elle devrait y aller, elle ne lui disait pas quand il devait aller voir sa chère Augusta Longbottom – sa chère mère.

Alice et Frank s’affrontaient du regard – oui, c’était toujours ainsi quand ils se prenaient la tête. Certains couples se prennent la tête pour des futilités telles que l’emplacement du canapé, Alice et Frank se prenaient la tête pour des choses un peu plus essentielles (même s’il leur arrivait de se prendre la tête pour moins que ça, après tout, leur couple avait commencé par une dispute !). Elle le fixait il la fixait, cela pouvait durer des heures, ça elle le savait, mais elle n’avait pas envie de céder.
« Je ne doute pas de toi Alice, je sais très bien que tu es une sorcière digne de ce nom, que tu es douée et que tu as le courage que tu as toujours posséder mais ils sont entrain de nous préparé quelque chose, quelque chose auquel on n'y attend pas pour le moment. La preuve encore ce matin, la gazette ne parle de rien, pas de meurtre, pas de victime, rien. » Elle comprenait qu’il puisse s’inquiéter pour elle, elle était morte d’inquiétude pour lui, tout le temps. Il était auror, comment ne pas être inquiet pour lui, franchement ? Il chassait les mangemorts, il était en danger permanent plus qu’elle ne serait jamais. Elle était amoureuse de lui, et l’idée de le savoir en danger lui faisait du mal, mais, elle ne pouvait rien y faire, elle ne pouvait pas l’en empêcher, elle ne pouvait pas lui demander d’arrêter de faire son métier, lui demander de tout arrêter au nom de l’amour qu’elle lui portait serait du pur égoïsme, tout simplement, et elle n’avait pas le droit d’être égoïste en temps de guerre – ils se devaient d’aider les autres, de les libérer de ces mangemorts. Elle lui avait finalement laissé sa tasse, et avait fait une remarque cinglante sur la vaisselle, elle était souvent entrain de la faire, mais c’était plus une excuse qu’autre chose, elle n’avait pas envie de finir cette conversation car pour elle, il n’y avait rien d’autre à ajouter. Elle tourna les talons, quittant la cuisine, décidé à monter au premier étage pour prendre une douche – sa bonne douche du matin. Elle n’eut pas le temps d’aller bien loin qu’une voix lui dit alors : « Alice Eana Fortescue revient dans la cuisine ! On a pas fini ! » Elle détestait qu’on l’appelle par son nom complet, elle détestait ça. Ça lui rappelait sa mère quand celle-ci l’appelait depuis la boutique en bas quand Alice avait fait une connerie – ce qui petite lui arrivait très souvent. Elle se stoppa net en bas des escaliers, et leva les yeux aux yeux, et se retourna en roulant des yeux. Elle se retourna alors pour le fixer et croisa ses bras sur sa poitrine, et elle rétorqua : « En fait pour moi, si on a fini. » Elle était assez sèche, et ajouta ensuite : « A quoi ça sert qu’on en parle, tu as tes idées, j’ai les miennes, et tu ne me feras pas changer d’avis. » Alice, et son fort caractère, le retour, elle n’avait pas envie de céder, elle tenait à faire parti de l’Ordre du Phénix, elle y tenait vraiment, elle n’avait simplement pas envie de perdre quelqu’un qu’elle aimait, alors elle se battait pour faire finir cette guerre, et réduire les chances des siens de se faire tuer. « Ne crois pas que tu es le seul à avoir peur ! J’ai peur de te perdre, toi, Emmeline, mon père, tout le monde ! Ne laisse pas cette peur… te pétrifier, il faut s’en servir pour avoir de la force. » Alice avait baissé d’un ton, elle s’était radoucie, mais elle n’avait pas envie d’en parler d’avantage. Elle ajouta finalement : « Ne me demande pas de tout arrêter Frank – je ne peux pas, c’est comme si je te demandais d’arrêter, tu ne voudrais pas, tu veux veiller sur moi, et moi, je veux veiller sur toi, l’un sans l’autre ça ne marche pas. » Elle le fixa et avait fini par se calmer, elle espérait qu’il ne s’entêterait pas, où elle pourrait vraiment partir fâché. Rien ne pourrait tenir Alice loin de l’Ordre – sauf si elle tombait malade gravement, mais ce n’était pas au programme.
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MessageSujet: Re: Dark days ft Alice   Dark days ft Alice Icon_minitimeDim 10 Mar - 13:31

    Comment faire réagir une femme ? Simplement en l'appelant par ses deux prénoms puis son nom de famille. Je savais très bien qu'Alice n'aimait pas qu'on l'appelle de cette façon, d'ailleurs, à chaque fois que l'on se disputait, je l'appelais de cette manière. Ce n'était pas un manque de respect de ma part mais plus un rappel à l'ordre pour lui dire de revenir, comme maintenant. D'ailleurs la réaction ne se fit pas attendre car elle resta en bas des escaliers après l'avoir interpeller. Je n'aimais pas que les gens prennent la fuite, une fois la discussion lancer, j'étais comme ça et personne pouvait changer ce point. Elle était-là, fixer sur place, les bras croisés. Je n’eus même pas le temps de dire quoi que ce soit, même pas le temps d'ouvrir ma bouche qu'elle prit d'avance la parole. « En fait pour moi, si on a fini. » Elle était sèche, comme à chaque engueulade. Je voyais bien la colère en elle, cette colère sortait beaucoup d'elle quand on parlait de l'Ordre et que je refusais toujours qu'elle y fasse partie. Évidemment, c'était un choix personnel de faire partit de l'Ordre, moi-même l'avais-je choisi et Alice également. Seulement, il y avait des jours où je refusais qu'elle y fasse partie, qu'elle ne fasse plus ce choix, qui mettait sa vie en danger mais parfois, j'étais fier qu'elle y fasse partie car elle protégeait sa famille, ses proches. « A quoi ça sert qu’on en parle, tu as tes idées, j’ai les miennes, et tu ne me feras pas changer d’avis. » Elle marquait un point. Quand elle avait décider quelque chose, personne ne pouvait pas lui faire changer d'avis, du moins, avec moi, cela n'avait jamais réussi. Autrement elle aurait déjà quitter l'Ordre, elle aurait mit sa vie en sécurité plutôt que de sa battre comme l'année dernière et de se faire avoir par Bellatrix. Nous avions nos propres opinions, nos propres idées. Je savais que pour aujourd'hui, elle ne céderait pas mais peut-être que si Emmeline venait à la maison, un de ses jours, peut-être qu'à deux, le point de pression serait plus important et elle accepterait, enfin, cela restait à voir car même avec un point de pression important, elle ne cédait pas. Mais Emmeline était sa meilleure amie, alors j'espérais qu'elle l'écoute attentivement et qu'elle fasse le bon choix pour sa survie. Je ne savais quoi lui répondre parce que, je savais dans le fond qu'elle avait raison. Nous avions tous des idées bien différentes dans l'Ordre et c'est ce qui nous rendait intéressant à travailler tous en équipe. En réalité, quand il y avait des blessés voir pire, nous étions sous le choc, tous, sans exception. C'était comme si nous perdions un proche, un membre de notre famille car finalement, c'était ce que nous étions. Une grande famille. Quand j'avais perdu mon coéquipier lors du sauvetage manquer dans la famille moldu, je m'étais senti coupable. Pendant des jours à vrai dire. D'ailleurs, voir les enfants mourirent de cette famille, avait été assez brûtale. « Ne crois pas que tu es le seul à avoir peur ! J’ai peur de te perdre, toi, Emmeline, mon père, tout le monde ! Ne laisse pas cette peur… te pétrifier, il faut s’en servir pour avoir de la force. » Elle parlait de peur. Oui j'avais peur, c'était quelque chose qui me tracassais chaque jours, quand je me levais, quand je me couchais, quand je partais travailler, quand je me baladais dans les rues. Dans cette guerre, nous avions tous quelque chose à perdre. Tous sans exception.

    « Je ne suis pas pétrifié ! Si je l'étais, j'aurais arrêter depuis dès le départ ! J'ai de la force ! On en a tous ! Si je n'avais pas de force je ne serais pas en fin de formation pour devenir auror ! » Mon métier me passionnais, je savais que j'étais doué dans ce domaine et que j'étais fais pour celui-ci. Je le savais dès que mes études au château avait été un peu plus que sérieuse. Je n'aimais pas montré mes peurs, je n'aimais pas non plus en parler car avoir peur. Je ne voulais pas être faible face à cette guerre qui pourrait très bien rendre le monde des sorciers sombre. A l'évidence, il n'y aurait pas que le monde des sorciers qui en prendrait un coup. Le monde en lui-même serait sombre. Les moldus et né(e)s moldus seront sans doute exterminer par ce mage noir, alors qu'avec nous, tous vivrait. « Ne me demande pas de tout arrêter Frank – je ne peux pas, c’est comme si je te demandais d’arrêter, tu ne voudrais pas, tu veux veiller sur moi, et moi, je veux veiller sur toi, l’un sans l’autre ça ne marche pas. » Elle marquait à nouveau un point. Il était dur pour moi de devoir lui dire d'arrêter car j'avais besoin de veiller sur elle dès que l'occasion était présente. Depuis l'agression, je m'inquiétais un peu sans arrêt et pour rien, tout en restant dans le minimum. Je ressentais le besoin de garder un œil sur elle et vise vers sa. Je pense que pour aujourd'hui, la cause de notre engueulade ne servait à rien dans parler. Surtout de bon matin comme celui-ci. Enfin de bon matin, il faisait bon à l'extérieur mais les nouvelles n'était pas assez médiocre. Elles étaient trop banal justement. Alice avait baisser le ton, pire, elle s'était adoucie dans sa façon de parler et à l'instant même, elle me fixait. Attendant sûrement une réponse de ma part. Soit négative soit positive. La seule chose que je pu dire fut : « Cause perdu j'ai l'impression mais ce n'ai pas mon dernier mot. Même si tu me le demandais, je n'arrêterais pas l'Ordre car je sais que je suis fais pour ça, exactement pour mon métier. » Je marqua une pause. Elle aussi était faite pour ce métier, je savais très bien que devenir auror la tentait plus qu'il ne faut et que d'être membre dans l'Ordre, la rendait heureuse. « Et tu as parfaitement raison, l'un sans l'autre ça ne marche pas. Alors... » Devais-je à nouveau lui prendre la tête ou bien accepter ma défaite de ce matin pour reprendre plus tard ? J'avais perdu haut la main aujourd'hui. « Tu n’oublieras pas de me tenir au courant de cette réunion et … Avant cela, j'aimerais que tu ailles voir ton père, voir s'il n'a pas besoin d'une aide en plus. Tu lui passera naturellement le bonjour matinal. » Le père d'Alice était un homme respectueux, qui avait apprit à me laisser faire place dans la vie de sa fille. Pas comme sa folle de meilleure amie.


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